Jc Mythe ou réalité historique
+9
-Ren-
Roque
DenisLouis
kaboo
gfalco
cinci
dan26
Nicolas
OlivierV
13 participants
Page 24 sur 24
Page 24 sur 24 • 1 ... 13 ... 22, 23, 24
Re: Jc Mythe ou réalité historique
je viens de vous répondre , il y a eu une forme de translittération , evangile voulant dire bonne nouvelle , c'est de message que l'on fait mention, pas d'un evangile . Là aussi comme pour nazareth , certaines traductions ont su faire la bonne traduction .Roque a écrit:Quel est cet Évangile déjà écrit au temps de l’Épître aux Romains (+55 à +57) ou de le première aux Corinthiens (+56) ?
Nous n'avons à ce jour aucune trace indirecte, d'évangile papier avant 140 !Avec la théorie des Évangiles directement écrits en grec[/color] - sortis de " la boîte noire de 30 ans de transmission inconnue et aléatoire " et élaborés " selon les besoins des communautés et par des groupes indépendants s'ignorant les autres ",
[EDIT]
Merci d'eviter els fameux fragments , qui ne sont que des morceaux infimes de textes , impossible à rattacher à un livre .
je viens de vous la faire, confusion encore entre evangiles et bonne nouvelle .il n'y a pas de réponse possible.
la source "q" a été imaginé par les théologiens allemands , afin de réduire le laps de tempos , entre les faits imaginés , et l'apparition des evangiles . Amsler , avec son" evangile inconnu" a essayé de les reconstituer en partant d'étude comparative . Mais force est de constater qu'aucune source "q" n'a été trouvé . A savoir des loggions les fameuse paroles du seigneuret d'abord pas de réponse possible en terme de date car il n'aurait " rien " existé ou presque (sauf une éventuelle source Q à laquelle personnellement je ne crois pas beaucoup - et j'ai des raisons ...) avant au mieux 60-65 pour Marc. Cette théorie engendre bien d'autres problèmes insolubles ...
evangiles et actes en Araméens , merci de me dire où on peut consulter ces documents !!!!Merci de parler de justin et d'Irenée cela montre bien que ces textes sont apparus tardivement .Mais il existe une théorie concurrente qui repose sur une tradition orale fixée précocement par écrit. Cette thèse est défendue par les Eglises orientales qui ont les textes des Évangiles et des Actes des Apôtres en araméen. pauline.px vous avez fait remarquer plus haut que le Codex Bezae était un texte particulier. Hé bien ces Évangiles en araméens sont de la même tradition avec une " Vieille Latine " comme le Codex Brixianus. Ce qu'avance l'école d'où je tire cette théorie est que la Codex Bezae (D05), le Peshytta (en fait le manuscrit : " Vat Syr 12 ") et le Codex Brixianus sont des textes homologues en trois langues donc : grec, latin, araméen. Je passe sur pas mal d'explications ... Comme vous le disiez l'ancienneté de cette tradition est attestée par le fait que Justin de Naplouse (mort en 165) et Irénée de Lyon (mort en 200) ont utilisé le texte du Codex Bezae.
[EDIT]
il faut attendre 140 pour voir citer Marc et Mathieu par Papia , et enfin 180 pour voir Irenée citer les 4 evangiles , dans son contre les héresies . Strictement rien avant ces dates .
Concile de trente au 16 em siècleLe texte de la Peshytta est ici : http://dukhrana.com/peshitta/index.php ... et le Concile de Trente avait dit que c'était ce même texte de la Peshytta qui était normatif pour les Eglises de l'Orient (aujourd'hui assyro-chaldéenne) - comme la Vulgate pour l'Eglise d'Occident ...
[EDIT]
Et ce fameux texte date de qu'elle époque ?Grossièrement expliqué ce texte araméen a une " versification interne " et est " découpé " en micro-récits fixes montés par séries de 7 " perles " (règles de cohérence interne très précises). Ces " perles " montées par 7 sont des " colliers " et plusieurs " colliers " assemblés constituent un texte continu qui est récité et écrit : c'est le texte de chaque Évangile au complet. Il y a intégré à cette composition des moyens mnémotechniques avec des " colliers compteurs " par exemple (bref encore !).
[EDIT]
il est totalement impossible que le cerveau humain sur plusieurs générations puisse transmettre un texte aussi long que els évangiles sans altération désolé . Je lai déjà expliqué c'est une problème de capacité cognitives, et de fonctionnalités des sens .C'est une récitation continue à deux vois alternés ou plus de la totalité du texte (psalmodié avec balancement juif) - sur quelques heures donc selon les Évangiles - cette récitation complète s'appelle en araméen une Karozoutha. Et elle se faisait aux origines lors d'une Qoubala, c'est à dire de " festins de la Parole de Dieu " organisés par les diacres-lévites - distinctes des Qourbana liturgies réservées aux prêtres seuls - ancêtres du " Repas du Seigneur ". Les " disciples " - à l'époque - étaient ceux qui avaient suffisamment " construit leur tour " : en araméen Magdala signifiant comme les pierres encastrées d'une tour, une connaissance coordonnée, une mise en ordre de la Karozoutha qui reposait en partie sur des systèmes de compte internes, des symétries, des assonances, etc ... Ce sont des systèmes rabbiniques hérités des juifs - rien d’original chez ces judéo-chrétiens.
Ok pour une chason, un conte, ou un poème , pour des textes courts . Mais totalement impossible (sans altération, ou exagération ), pour des textes comme les évangiles . Désolé d'insister
aucun père de l'église ne mentionne les évangiles avant le milieux du second siècle . désolé .A moins bien sur qeu vous puissiez apporter une preuve concréte . Je rappelle qu'à ce jour les plus vieux evangiles remontent au 3eme et 4 eme siècle .]color=#0000ff]Donc en 55-56[/color], les Évangiles récités et fixés par écrit étaient d'abord celui de Matthieu araméen fixé vers 37-40 à Antioche et ensuite celui de Marc araméen fixé en araméen et simultanément fixé et édité en grec à Rome en 45. L’Évangile de Matthieu qui a été initialement le socle de la liturgie l'Eglise de Jérusalem ne couvrait pas l'ensemble de l'année. Ensuite l’Évangile de Matthieu araméen - couvrait la période synagogale de la liturgie d'hiver (de Rosh Hashanah à Shavuot : 8 mois) et l’Évangile de Marc araméen plus court couvrait la période synagogale de la liturgie d'hiver (le reste de l'année : 4 mois).
Et surtout par un auteur inconnu . Ne pas oublier que Mathieu mentionne un fait survenu après 70, qu'il était publicain, et critique les publicains,.Pour Matthieu la traduction en grec a été faite beaucoup plus tard et sans doute pas par Matthieu lui-même. Le nombre de cérémonies liturgiques sabbatiques à couvrir l'année était de 114 (comme les sourate du Coran ...).
[EDIT]
Dernière édition par -Ren- le Sam 25 Nov - 10:55, édité 1 fois (Raison : propos insultants)
dan26- Membre banni
- Messages : 891
Date d'inscription : 21/08/2017
Re: Jc Mythe ou réalité historique
[quote]
vous semblez juste oublier une détail , c'est la date de compostion de ces textes à savoir :
Ses onciales, une majuscule qui eut cours du IIe au VIIe siècle, ont pu être datées des années 380 à 420 au plus tard. Aussi loin qu'on puisse remonter, ce manuscrit se trouvait à Lyon (Rhône). Sa présence y est attestée de manière documentée du IXe au XVIe siècle. Il fut restauré dans l'atelier de Florus à Lyon au IXe siècle comme le révèle l’usage d’une encre particulière, employée pour les pages restaurées. Il a été gardé précieusement pendant des siècles dans le monastère Saint-Irénée de Lyon. En 1562 il aurait disparu lors du sac de la ville si Théodore de Bèze, qui allait devenir le successeur de Calvin à Genève, n'avait assuré sa sauvegarde. Il le fit retirer du couvent Saint-Irénée avant que celui-ci ne soit détruit par les flammes et l'adressa à la bibliothèque de l’université de Cambridge en 1581 où il est conservé depuis lors sous l'intitulé Codex Bezae Cantabrigiensis.
Frederick Scrivener lui assignait le Sud de la Gaule pour région d’origine en considération de la langue latine de la traduction. D'autres provenances ont été envisagées: l'Italie du Nord, la Sicile, Beyrouth ou Constantinople, mais des comparaisons proposées aucun argument décisif n'a émergé. Les leçons qui lui sont propres ont souvent fait l'objet de notes dans l'apparât critique du texte standard Nestle-Aland réédité tout au long du XXe siècle.
Ce manuscrit est la copie fidèle d'un texte plus ancien que citait déjà Justin (qui fut martyrisé vers 165 à Rome), et Irénée dans son traité contre les Hérésies. C'est vraisemblablement le texte le plus ancien des évangiles qui nous soit parvenu. Irénée vint évangéliser en Gaule. Il était arrivé à Lyon dans les années 170, venant de Smyrne où il avait été disciple de Polycarpe qui avait connu dans sa jeunesse Jean l'Ancien. Aussi Frederick Scrivener pensait qu'Irénée avait amené en Gaule “l'ancêtre” du codex Bezæ qui fut recopié sur parchemin au début du Ve siècle, pour assurer sa pérennité.
je confirme donc entre le 4eme et le 5eme siècle soit entre 16 et 20 générations après les faits imaginés !!!
Donc bien après les plus anciens connus à ce jour le Sinaiticus, et le vaticanicus
sacrée première main !!!
amicalement
Roque a écrit:
Ce qu'avance l'école d'où je tire cette théorie est que la Codex Bezae (D05), le Peshytta (en fait le manuscrit : " Vat Syr 12 ") et le Codex Brixianus sont des textes homologues en trois langues donc : grec, latin, araméen.
vous semblez juste oublier une détail , c'est la date de compostion de ces textes à savoir :
Ses onciales, une majuscule qui eut cours du IIe au VIIe siècle, ont pu être datées des années 380 à 420 au plus tard. Aussi loin qu'on puisse remonter, ce manuscrit se trouvait à Lyon (Rhône). Sa présence y est attestée de manière documentée du IXe au XVIe siècle. Il fut restauré dans l'atelier de Florus à Lyon au IXe siècle comme le révèle l’usage d’une encre particulière, employée pour les pages restaurées. Il a été gardé précieusement pendant des siècles dans le monastère Saint-Irénée de Lyon. En 1562 il aurait disparu lors du sac de la ville si Théodore de Bèze, qui allait devenir le successeur de Calvin à Genève, n'avait assuré sa sauvegarde. Il le fit retirer du couvent Saint-Irénée avant que celui-ci ne soit détruit par les flammes et l'adressa à la bibliothèque de l’université de Cambridge en 1581 où il est conservé depuis lors sous l'intitulé Codex Bezae Cantabrigiensis.
Frederick Scrivener lui assignait le Sud de la Gaule pour région d’origine en considération de la langue latine de la traduction. D'autres provenances ont été envisagées: l'Italie du Nord, la Sicile, Beyrouth ou Constantinople, mais des comparaisons proposées aucun argument décisif n'a émergé. Les leçons qui lui sont propres ont souvent fait l'objet de notes dans l'apparât critique du texte standard Nestle-Aland réédité tout au long du XXe siècle.
Ce manuscrit est la copie fidèle d'un texte plus ancien que citait déjà Justin (qui fut martyrisé vers 165 à Rome), et Irénée dans son traité contre les Hérésies. C'est vraisemblablement le texte le plus ancien des évangiles qui nous soit parvenu. Irénée vint évangéliser en Gaule. Il était arrivé à Lyon dans les années 170, venant de Smyrne où il avait été disciple de Polycarpe qui avait connu dans sa jeunesse Jean l'Ancien. Aussi Frederick Scrivener pensait qu'Irénée avait amené en Gaule “l'ancêtre” du codex Bezæ qui fut recopié sur parchemin au début du Ve siècle, pour assurer sa pérennité.
je confirme donc entre le 4eme et le 5eme siècle soit entre 16 et 20 générations après les faits imaginés !!!
Donc bien après les plus anciens connus à ce jour le Sinaiticus, et le vaticanicus
sacrée première main !!!
amicalement
dan26- Membre banni
- Messages : 891
Réputation : 2
Date d'inscription : 21/08/2017
Age : 77
Localisation : sud de la France
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Votre premier post d'hier (24 novembre 2017 à 20h28) n'a rien à voir avec le sujet de mon post auquel vous prétendez répondre :
Je sais que pour tout ce qui n'est pas " factuel ", vous avez de grosses difficultés à comprendre ce que vous lisez ou ce qu'on vous dit ... Et pour tout dire je ne suis pas sûr qu'un débat pertinent ou cohérent puisse avoir lieu avec vous sur des questions " non factuelles ". Je pense en effet que la compréhension de toutes ces choses vous est quasi-impossible.
Alors si vous voulez que le débat se poursuive sur ce sujet entre nous, il va falloir démontrer que vous comprenez de quoi j'ai voulu parler. Ma question est : " Pouvez-vous m'expliquer en quelques mots quel était - quel est - le sujet de mon post d'hier (24 novembre 2017 à 08h15), c'est à dire de quoi je veux parler ? ".
Plus bas vous réclamez le texte dont je voulais parler. Mes questions sont : " Comment s'appelle le texte dont j'ai voulu parler ? Pouvez-vous trouver le lien que je vous ai donné à ce sujet ? " Si vous lisez vraiment ce que j'ai écrit ... cela ne devrait pas être trop difficile !
Et encore : " Que signifie Karouzoutha, Qoubala ou Marganitha en araméen ? "
Votre second post d'hier (24 novembre 2017 à 20h37) est également complètement hors sujet (et est un copier coller de Wikipédia) car vous ne parlez que du Codex Bezae - et je ne parle pas du tout de cela.
Il va falloir me démontrer que vous ne déblatérez pas juste pour faire remplir des lignes et " faire bonne figure " ou parce que c'est un sujet sur lequel vous ne connaissez rien du tout.
Mes dernières questions, donc : " Pouvez-vous me citer le nom de un ou deux manuscrits des Évangiles en araméen que je n'ai pas déjà cités - avec si possible leur datation et leur compilateur éventuel ? "
Si nous ne parvenons pas à parler de la même chose, soit vous continuez seul sur tout ce qui vous intéresse, soit je clos le sujet en ce qui me concerne, soit les deux ...
Jusque là toute vos remarques (vraies ou fausses) n'ont aucun rapport avec ce que j'ai essayé d'expliquer.dan26 a écrit:je viens de vous répondre , il y a eu une forme de translittération , evangile voulant dire bonne nouvelle , c'est de message que l'on fait mention, pas d'un evangile . Là aussi comme pour nazareth , certaines traductions ont su faire la bonne traduction .Roque a écrit:Quel est cet Évangile déjà écrit au temps de l’Épître aux Romains (+55 à +57) ou de le première aux Corinthiens (+56) ?
Nous n'avons à ce jour aucune trace indirecte, d'évangile papier avant 140 !!! Désolé de vous l'apprendre . Merci d'eviter els fameux fragments , qui ne sont que des morceaux infimes de textes , impossible à rattacher à un livre .Avec la théorie des Évangiles directement écrits en grec[/color] - sortis de " la boîte noire de 30 ans de transmission inconnue et aléatoire " et élaborés " selon les besoins des communautés et par des groupes indépendants s'ignorant les autres ",je viens de vous la faire, confusion encore entre evangiles et bonne nouvelle .il n'y a pas de réponse possible.la source "q" a été imaginé par les théologiens allemands , afin de réduire le laps de tempos , entre les faits imaginés , et l'apparition des evangiles . Amsler , avec son" evangile inconnu" a essayé de les reconstituer en partant d'étude comparative . Mais force est de constater qu'aucune source "q" n'a été trouvé . A savoir des loggions les fameuse paroles du seigneuret d'abord pas de réponse possible en terme de date car il n'aurait " rien " existé ou presque (sauf une éventuelle source Q à laquelle personnellement je ne crois pas beaucoup - et j'ai des raisons ...) avant au mieux 60-65 pour Marc. Cette théorie engendre bien d'autres problèmes insolubles ...
Je sais que pour tout ce qui n'est pas " factuel ", vous avez de grosses difficultés à comprendre ce que vous lisez ou ce qu'on vous dit ... Et pour tout dire je ne suis pas sûr qu'un débat pertinent ou cohérent puisse avoir lieu avec vous sur des questions " non factuelles ". Je pense en effet que la compréhension de toutes ces choses vous est quasi-impossible.
Alors si vous voulez que le débat se poursuive sur ce sujet entre nous, il va falloir démontrer que vous comprenez de quoi j'ai voulu parler. Ma question est : " Pouvez-vous m'expliquer en quelques mots quel était - quel est - le sujet de mon post d'hier (24 novembre 2017 à 08h15), c'est à dire de quoi je veux parler ? ".
Plus bas vous réclamez le texte dont je voulais parler. Mes questions sont : " Comment s'appelle le texte dont j'ai voulu parler ? Pouvez-vous trouver le lien que je vous ai donné à ce sujet ? " Si vous lisez vraiment ce que j'ai écrit ... cela ne devrait pas être trop difficile !
Et encore : " Que signifie Karouzoutha, Qoubala ou Marganitha en araméen ? "
Votre second post d'hier (24 novembre 2017 à 20h37) est également complètement hors sujet (et est un copier coller de Wikipédia) car vous ne parlez que du Codex Bezae - et je ne parle pas du tout de cela.
Il va falloir me démontrer que vous ne déblatérez pas juste pour faire remplir des lignes et " faire bonne figure " ou parce que c'est un sujet sur lequel vous ne connaissez rien du tout.
Mes dernières questions, donc : " Pouvez-vous me citer le nom de un ou deux manuscrits des Évangiles en araméen que je n'ai pas déjà cités - avec si possible leur datation et leur compilateur éventuel ? "
Il y a aussi Libremax sur ce forum qui connaît bien ce sujet. Nous ne faisons que répéter ce qu'enseigne l'école de Pierre Perrier et de Frédéric Guigain. Fréquentant le Collège des Bernardins à Paris, j'interroge mes professeurs et j"ai constaté qu'ils ne connaissent ni un texte araméen qui ne serait pas une traduction du grec, ni ces deux auteurs.dan26 a écrit:Par contre c'est connu de notre cher Roque !!!!Roque a écrit:Bien entendu tout cela est totalement inconnu des Eglises qui ne connaissent que le texte grec - et rien d'autre.
Si nous ne parvenons pas à parler de la même chose, soit vous continuez seul sur tout ce qui vous intéresse, soit je clos le sujet en ce qui me concerne, soit les deux ...
Roque- Messages : 5064
Réputation : 23
Date d'inscription : 15/02/2011
Age : 80
Localisation : Paris
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Bonjour Dan 26,
J'ai bien compris que vote réponse était l'opinion personnelle à Dan 26.
Mais ce que je vous demande c'est la preuve que c'était un sacrilège de se faire appeler "oint" à cette époque.
En revanche je vous ai déjà accordé que suggérer qu'on est le Fils de D.ieu, béni soit-Il, faisait courir un risque mortel puisque c'est probablement le motif de l'exécution de notre Seigneur Jésus-Christ.
Mais c'est une tout autre question qui n'a aucun rapport avec votre affirmation sur l'impossibilité de "Jésus-Christ".
Bref ! pour une dernière fois je vous demande de nous apporter une preuve que c'était un sacrilège de se faire appeler "oint" à cette époque.
Cordialement
votre sœur
pauline
dan26 a écrit:J'ai répondu avec précision, voulez vous que je me répète ?Je confirme personne n'ayant aucune descendance royale , ne pouvait prétendre se faire appeler christ à savoir ouin . Personne ne pouvait prétendre etre dieu, ou fils de dieu , c'était un sacrilègepauline.px a écrit:Puisque je crains de ne jamais obtenir de réponses étayées à mes trois dernières questions sur votre thèse « Appellation Impossible »...
J'ai bien compris que vote réponse était l'opinion personnelle à Dan 26.
Mais ce que je vous demande c'est la preuve que c'était un sacrilège de se faire appeler "oint" à cette époque.
En revanche je vous ai déjà accordé que suggérer qu'on est le Fils de D.ieu, béni soit-Il, faisait courir un risque mortel puisque c'est probablement le motif de l'exécution de notre Seigneur Jésus-Christ.
Mais c'est une tout autre question qui n'a aucun rapport avec votre affirmation sur l'impossibilité de "Jésus-Christ".
Bref ! pour une dernière fois je vous demande de nous apporter une preuve que c'était un sacrilège de se faire appeler "oint" à cette époque.
Cordialement
votre sœur
pauline
Invité- Invité
Re: Jc Mythe ou réalité historique
[quote]
Jesus roi des juifs. N'est ce pas la preuve que ce prendre pour un roi , ou un dieu etait passible de mort .D'après les évangiles .
Oint veux dire roi(ou d'une lignée royale ); ayant reçu l'onction sacrée .
C'est assez simple à comprendre . C'est le motif qui est noté sur le Titulus Roi des juifs chez Luc et mac, et Jesus roi des juifs chez math.
Je ne peux vous donner d'autres preuves puisque nous avons que les évangiles pour les détails de sa vie .
amicalement
d'après la bible qu'était il marqué sur le titulus ?pauline.px a écrit:
Bref ! pour une dernière fois je vous demande de nous apporter une preuve que c'était un sacrilège de se faire appeler "oint" à cette époque.
Jesus roi des juifs. N'est ce pas la preuve que ce prendre pour un roi , ou un dieu etait passible de mort .D'après les évangiles .
Oint veux dire roi(ou d'une lignée royale ); ayant reçu l'onction sacrée .
C'est assez simple à comprendre . C'est le motif qui est noté sur le Titulus Roi des juifs chez Luc et mac, et Jesus roi des juifs chez math.
Je ne peux vous donner d'autres preuves puisque nous avons que les évangiles pour les détails de sa vie .
amicalement
dan26- Membre banni
- Messages : 891
Réputation : 2
Date d'inscription : 21/08/2017
Age : 77
Localisation : sud de la France
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Pas de réponse ... tant que vous ne comprendrez pas le sujet, vous vous condamnez au hors sujet.Roque a écrit:" Pouvez-vous m'expliquer en quelques mots quel était - quel est - le sujet de mon post d'hier (24 novembre 2017 à 08h15), c'est à dire de quoi je veux parler ? ".
NON, il s'agit de la Peshytta qui est en araméen. Et le lien je l'ai même donné c'est : http://dukhrana.com/peshitta/index.php Mais vous ne lisez pas ce que j'ai écrit ...dan26 a écrit:le codex BezaeRoque a écrit:" Comment s'appelle le texte dont j'ai voulu parler ? Pouvez-vous trouver le lien que je vous ai donné à ce sujet ? " Si vous lisez vraiment ce que j'ai écrit ... cela ne devrait pas être trop difficile !
NON ce sont des points centraux de cette tradition orale rabbinique, ce sont les outils, les méthodes, les moyens et les circonstances de cette tradition orale qui existait avant Jésus et qui a été reprise par les judéo-chrétiens, puis les syriaques.dan26 a écrit:Aucun rapport avec le sujet là aussi . C'est juste un écran de fumée .Roque a écrit: " Que signifie Karouzoutha, Qoubala ou Marganitha en araméen ? "
NON, rien à voir avec le premier siècle effectivement. Vous ne savez tout simplement pas de quoi je parle ...dan26 a écrit:connu a ce jour et de l'époque , à savoir du premier siècle , strictement, aucun .Roque a écrit:" Pouvez-vous me citer le nom de un ou deux manuscrits des Évangiles en araméen que je n'ai pas déjà cités - avec si possible leur datation et leur compilateur éventuel ? "
Votre incompréhension est massive - sans remède connu au moins jusqu'à maintenant.
Roque- Messages : 5064
Réputation : 23
Date d'inscription : 15/02/2011
Age : 80
Localisation : Paris
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Bonjour Dan 26,
C'est curieux que vous invoquiez le Très Saint Évangile comme preuve.
Le Titulus prouve, en effet, que le motif de la condamnation à mort par Ponce Pilate de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ est d'avoir été considéré comme roi, et par là d'avoir contesté l'autorité de César.
Dois-je comprendre que pour vous le Très Saint Évangile est une preuve de Sa condamnation à mort mais pas de Son existence terrestre ?
Pourtant c'est précisément ce que je vous demande.
Si vous voulez prouver que l'appellation "Jésus-Christ" était "impossible" il ne suffit pas de rappeler que cette appellation audacieuse a pu mener à la mort notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, car cela ne fait que confirmer la lettre du Très Saint Évangile. Le Titulus n'aboutit à aucune contradiction mais confirme la cohérence du Nouveau Testament sur ce point.
Aaaah... si la condamnation à mort et l'appellation "Jésus-Christ" était contradictoires votre raisonnement tiendrait, mais c'est la cohérence qui est manifeste.
Avant de clore cette question sur un constat de carence,
si vous posez l'hypothèse que le Très Saint Évangile est une fable alors pour prouver que l'appellation "Jésus-Christ" était "impossible" il vous faut trouver autre chose que la fable du Très Saint Évangile.
Cordialement
votre sœur
pauline
dan26 a écrit:d'après la bible qu'était il marqué sur le titulus ? Jesus roi des juifs. N'est ce pas la preuve que ce prendre pour un roi , ou un dieu etait passible de mort .D'après les évangiles .pauline.px a écrit:
Bref ! pour une dernière fois je vous demande de nous apporter une preuve que c'était un sacrilège de se faire appeler "oint" à cette époque.
C'est curieux que vous invoquiez le Très Saint Évangile comme preuve.
Le Titulus prouve, en effet, que le motif de la condamnation à mort par Ponce Pilate de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ est d'avoir été considéré comme roi, et par là d'avoir contesté l'autorité de César.
Dois-je comprendre que pour vous le Très Saint Évangile est une preuve de Sa condamnation à mort mais pas de Son existence terrestre ?
dan26 a écrit:Oint veux dire roi(ou d'une lignée royale ); ayant reçu l'onction sacrée . C'est assez simple à comprendre . C'est le motif qui est noté sur le Titulus Roi des juifs chez Luc et mac, et Jesus roi des juifs chez math. Je ne peux vous donner d'autres preuves puisque nous avons que les évangiles pour les détails de sa vie .
Pourtant c'est précisément ce que je vous demande.
Si vous voulez prouver que l'appellation "Jésus-Christ" était "impossible" il ne suffit pas de rappeler que cette appellation audacieuse a pu mener à la mort notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, car cela ne fait que confirmer la lettre du Très Saint Évangile. Le Titulus n'aboutit à aucune contradiction mais confirme la cohérence du Nouveau Testament sur ce point.
Aaaah... si la condamnation à mort et l'appellation "Jésus-Christ" était contradictoires votre raisonnement tiendrait, mais c'est la cohérence qui est manifeste.
Avant de clore cette question sur un constat de carence,
si vous posez l'hypothèse que le Très Saint Évangile est une fable alors pour prouver que l'appellation "Jésus-Christ" était "impossible" il vous faut trouver autre chose que la fable du Très Saint Évangile.
Cordialement
votre sœur
pauline
Invité- Invité
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Il n'est plus là pour vous répondre. Ban par Ren (?) depuis hier ou ce matin ou cette nuit. Trop de carton jaunes et rouges dont il n'a pas tenu compte...
Toutefois, si je puis me permette un point de vue qui n'est plus celui d'un croyant mais disons celui d'un historien, le soucis des Evangiles et ce n'est pas une nouveauté ce que je vais dire, c'est que se sont à la fois des récits que l'on peut voir comme historiques mais qui sont avant tout des témoignages de foi.
Le but des Évangiles n'est pas de faire un récit le plus fidèle possible d'un épisode historique pour l'Histoire mais de faire le récit de la vie, de la prédication et de la mort d'un saint homme qui est le fondateur d'une religion et qui en plus est le Fils de Dieu et le Rédempteur pour les croyants de cette religion, les enjeux sont bien trop grands.
On ne peut peut donc pas attendre de ses auteurs une totale impartialité. Et faire jouer l'intervention d'un "Esprit Saint" qui assurerait que les auteurs on bien transcrit la vérité relève de la croyance et non de la preuve historique.
C'est un ensemble de texte sacrées objet de vénération non un témoignage historique au sens strict, donc on ne peut pas se servir des Evangiles comme d'une "preuve" historique comme par exemple le récit d'un historien romain ou les chroniques locales d'une moine médiéval. C'est un fait, un constat non une critique.
Le but des Évangiles n'est pas de faire un récit le plus fidèle possible d'un épisode historique pour l'Histoire mais de faire le récit de la vie, de la prédication et de la mort d'un saint homme qui est le fondateur d'une religion et qui en plus est le Fils de Dieu et le Rédempteur pour les croyants de cette religion, les enjeux sont bien trop grands.
On ne peut peut donc pas attendre de ses auteurs une totale impartialité. Et faire jouer l'intervention d'un "Esprit Saint" qui assurerait que les auteurs on bien transcrit la vérité relève de la croyance et non de la preuve historique.
C'est un ensemble de texte sacrées objet de vénération non un témoignage historique au sens strict, donc on ne peut pas se servir des Evangiles comme d'une "preuve" historique comme par exemple le récit d'un historien romain ou les chroniques locales d'une moine médiéval. C'est un fait, un constat non une critique.
En plus se sont les meilleurs sources, les plus complètes que l'on ai pour sur le sujet, c'est donc quelque chose d’embarrassant à manier pour des historiens soucieux de vérité historique.
Je pense que vous êtes capable de comprendre la prise de distance objective que je prends n'est ce pas ? Et que peut et doit prendre un historien qui plus est non-croyant.
La problématique est assez semblable avec le Bouddha et même pire, il est 5 siècles antérieur ! Et lui non plus n'a rien écrit de sa main comme Jésus.
Invité- Invité
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Ceci me semble un jugement assez équilibré, mais bien trop nuancé pour certains. Sans trop regarder au détails, je dirais que ma vision du texte des Évangiles est celle là. Le problème ne vient pas de le prise de recul, elle vient du rejet d'une partie importante du texte des Evangiles sous prétexte d'inauthenticité. Dire - comme vous le faites - que ce sont " des récits que l'on peut voir comme historiques mais qui sont avant tout des témoignages de foi " et qu'on " ne peut donc pas attendre de ses auteurs une totale impartialité " - par exemple - est bien trop nuancé et de permet pas une critique suffisamment " mordante " et " efficace " des Évangiles. Elle ne permet pas la " déconstruction " des Évangiles - laquelle en réalité est une destruction du texte et de sa fiabilité.Madhyamaka a écrit:Le but des Évangiles n'est pas de faire un récit le plus fidèle possible d'un épisode historique pour l'Histoire mais de faire le récit de la vie, de la prédication et de la mort d'un saint homme qui est le fondateur d'une religion et qui en plus est le Fils de Dieu et le Rédempteur pour les croyants de cette religion, les enjeux sont bien trop grands.
On ne peut peut donc pas attendre de ses auteurs une totale impartialité. Et faire jouer l'intervention d'un "Esprit Saint" qui assurerait que les auteurs on bien transcrit la vérité relève de la croyance et non de la preuve historique.
C'est un ensemble de texte sacrées objet de vénération non un témoignage historique au sens strict, donc on ne peut pas se servir des Evangiles comme d'une "preuve" historique comme par exemple le récit d'un historien romain ou les chroniques locales d'une moine médiéval. C'est un fait, un constat non une critique.
La critique la plus radicale de la " Fiabilité des Évangiles " - celle qui est en cours habituellement n'est pas celle-là. Elle va donc reposer sur deux affirmations radicales qui sont des postulats (car il ne relèvent d'aucun démonstration préalable) :
A. Les Évangiles seraient constitués de " micro-unités " à l'origine indépendantes, donc isolées et replacées dans un contexte fictif - donc ayant perdu toute leur cohérence éventuelle d'origine. La formule consacrée : " les Évangiles sont une narration, mais ne sont pas une histoire " signifie donc ici que le texte ne provient :
- d'aucun témoin oculaire ;
- d'aucune mémoire de faits réels ;
- d'aucune chaîne de transmission ou d'aucun processus d'élaboration d'une tradition orale consistante ; et
- d'aucun auteur unique d'origine, comme Jésus.
B. Les textes des Évangiles ne sont pas historiques (ils sont même éventuellement " anti-historiques "). Du fait de leur " style " de textes seraient :
- soit de la " basse littérature " sans plus de valeur que les récits populaires et folkloriques (point de vue de Bultmann) ;
- soit seraient des biographies gréco-romaines, ce qui en clair signifie que le contenu historiographique et " miraculeux " serait totalement fictif (point de vue de Marguerat).
Il faut bien comprendre que ces deux postulats sont tout à fait nets et tranchés - même si évidemment ils ne sont pas explicités comme préalable à l'analyse des textes. Une fois explicités, il devient très apparent que l'approche du texte évangélique est complètement biaisée - dépourvue de tout impartialité (un athée de ce forum l'a même reconnu). Ces deux postulats sont en quelque sorte au principe de la méthode d'analyse et vont commander toutes les conclusions qui vont en découler. Il est clair que le postulat rationaliste est ici à l'oeuvre et a l'exclusivité. Je pense ne rien exagèrer.
Roque- Messages : 5064
Réputation : 23
Date d'inscription : 15/02/2011
Age : 80
Localisation : Paris
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Roque a écrit:Ceci me semble un jugement assez équilibré, mais bien trop nuancé pour certains. Sans trop regarder au détails, je dirais que ma vision du texte des Évangiles est celle là. Le problème ne vient pas de le prise de recul, elle vient du rejet d'une partie importante du texte des Evangiles sous prétexte d'inauthenticité. Dire - comme vous le faites - que ce sont " des récits que l'on peut voir comme historiques mais qui sont avant tout des témoignages de foi " et qu'on " ne peut donc pas attendre de ses auteurs une totale impartialité " - par exemple - est bien trop nuancé et de permet pas une critique suffisamment " mordante " et " efficace " des Évangiles. Elle ne permet pas la " déconstruction " des Évangiles - laquelle en réalité est une destruction du texte et de sa fiabilité.Madhyamaka a écrit:Le but des Évangiles n'est pas de faire un récit le plus fidèle possible d'un épisode historique pour l'Histoire mais de faire le récit de la vie, de la prédication et de la mort d'un saint homme qui est le fondateur d'une religion et qui en plus est le Fils de Dieu et le Rédempteur pour les croyants de cette religion, les enjeux sont bien trop grands.
On ne peut peut donc pas attendre de ses auteurs une totale impartialité. Et faire jouer l'intervention d'un "Esprit Saint" qui assurerait que les auteurs on bien transcrit la vérité relève de la croyance et non de la preuve historique.
C'est un ensemble de texte sacrées objet de vénération non un témoignage historique au sens strict, donc on ne peut pas se servir des Evangiles comme d'une "preuve" historique comme par exemple le récit d'un historien romain ou les chroniques locales d'une moine médiéval. C'est un fait, un constat non une critique.
La critique la plus radicale de la " Fiabilité des Évangiles " - celle qui est en cours habituellement n'est pas celle-là. Elle va donc reposer sur deux affirmations radicales qui sont des postulats (car il ne relèvent d'aucun démonstration préalable) :
A. Les Évangiles seraient constitués de " micro-unités " à l'origine indépendantes, donc isolées et replacées dans un contexte fictif - donc ayant perdu toute leur cohérence éventuelle d'origine. La formule consacrée : " les Évangiles sont une narration, mais ne sont pas une histoire " signifie donc ici que le texte ne provient :
- d'aucun témoin oculaire ;
- d'aucune mémoire de faits réels ;
- d'aucune chaîne de transmission ou d'aucun processus d'élaboration d'une tradition orale réelle ; et
- d'aucun auteur unique d'origine, comme Jésus.
B. Les textes des Évangiles ne sont pas historiques (ils sont même éventuellement " anti-historiques "). Du fait de leur " style " de textes seraient :
- soit de la " basse littérature " sans plus de valeur que les récits populaires et folkloriques (point de vue de Bultmann) ;
- soit seraient des biographies gréco-romaines, ce qui en clair signifie que le contenu historiographique et " miraculeux " serait totalement fictif (point de vue de Marguerat).
Il faut bien comprendre que ces deux postulats sont tout à fait nets et tranchés - même si évidemment ils ne sont pas explicités comme préalable à l'analyse des textes. Une fois explicités, il devient très apparent que l'approche du texte évangélique est complètement biaisée - dépourvue de tout impartialité (un athée de ce forum l'a même reconnu). Ces deux postulats sont en quelque sorte au principe de la méthode d'analyse et vont commander toutes les conclusions qui vont en découler. Il est clair que le postulat rationaliste est ici à l'oeuvre. Je pense ne rien exagèrer.
Roque, quand tu t'exprimes, j'ai l'impression de voir Dan26 mais de l'autre coté du miroir : un chrétien convaincu que rien ne peut faire démordre.
C'est fascinant de voir deux opposés qui s'affrontent, mashaAllah
En tout cas, j'incline mon front devant ton analyse précise et juste de l'Evangile
Invité- Invité
Re: Jc Mythe ou réalité historique
@Roque : Ceci me semble un jugement assez équilibré, mais bien trop nuancé pour certains.
Merci et... c'est leur problème (aux "certains").
Merci et... c'est leur problème (aux "certains").
Invité- Invité
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Cher musulman79, je peux être plus un peu plus léger, je pense. Je peux reconnaître des contradictions ou des difficultés de compréhension des Évangiles, car je suis bien conscient de ne pas comprendre tout ... mais je le fais volontiers avec des gens qui jouent dans la nuance, qui font de la dentelle et le précision ... avec les autres les chauffards de l'exégèse et les délinquants de la rationalité, c'est une autre musique.musulman79 a écrit:Roque, quand tu t'exprimes, j'ai l'impression de voir Dan26 mais de l'autre coté du miroir : un chrétien convaincu que rien ne peut faire démordre.
C'est fascinant de voir deux opposés qui s'affrontent, mashaAllah
En tout cas, j'incline mon front devant ton analyse précise et juste de l'Evangile
Mais quand j'ai vu que dan26 voulait " casser la baraque " je n'ai pas fait dans la nuance, c'est vrai. J'ai fait la charge de l'éléphant ...
Allons éléphants de la patrie-ie-e ...
Roque- Messages : 5064
Réputation : 23
Date d'inscription : 15/02/2011
Age : 80
Localisation : Paris
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Roque a écrit:Cher musulman79, je peux être plus un peu plus léger, je pense. Je peux reconnaître des contradictions ou des difficultés de compréhension des Évangiles, car je suis bien conscient de ne pas comprendre tout ... mais je le fais volontiers avec des gens qui jouent dans la nuance, qui font de la dentelle et le précision ...musulman79 a écrit:Roque, quand tu t'exprimes, j'ai l'impression de voir Dan26 mais de l'autre coté du miroir : un chrétien convaincu que rien ne peut faire démordre.
C'est fascinant de voir deux opposés qui s'affrontent, mashaAllah
En tout cas, j'incline mon front devant ton analyse précise et juste de l'Evangile
Mais quand j'ai vu que dan26 voulait " casser la baraque " je n'ai pas fait dans la nuance, c'est vrai. J'ai fait la charge de l'éléphant ...
Allons éléphants de la patrie-ie-e ...
Tu es interessant comme type, mon cher Roque
J'ai bien envie de pinailler avec toi sur le noble Jesus....
Pourquoi cette obsession chrétienne de dire que Jesus était un etre inoffensif qui ne ferai pas de mal à une mouche ??
Si comme Jesus le disait que Son Père et lui ne font qu'un alors comment peut-on parler de Jesus comme d'un etre sans aucune puissance ni aucune violence ??
Invité- Invité
Re: Jc Mythe ou réalité historique
En fait j'ai fait ce long développement pour situer la question de l'absence de " Fiabilité des Évangiles " dans la critique moderne - et situer ensuite l'intérêt de la tradition orale des judéo-chrétiens.Madhyamaka a écrit:@Roque : Ceci me semble un jugement assez équilibré, mais bien trop nuancé pour certains.
Pour dire vrai, je décrit ici une seule et unique théorie - celle qui est développée depuis Bultmann (début du XXème siècle) et pas mal d'auteurs à sa suite, dont Daniel Marguerat actuellement. Tout leur travail qui prétend être une combinaison de l'approche historique et de la critique stylistique a très efficacement contribué à documenter l'impossibilité d'une transmission fiable entre les Évangiles et leur auteur principal éventuel. L'ignorance complète ce qui a pu être une transmission orale organisée et stable au premier siècle - évidemment différente du bouche à oreille aléatoire de nos grands mères - pourrait jouer contre cette théorie (car l'absence de preuve n'est pas une preuve d'absence). Mais paradoxalement, elle est - ici - utilisée comme argument en faveur de l'impossibilité d'une transmission fiable sur une longue période. Cette transmission hypothétique comporte donc - dans leur théorie - une " boîte noire " de 30 à 40 ans, minimum (théorie qui est quasi universellement partagée actuellement, sous nos latitudes). Le diagramme, qui suit immédiatement, provient d'une très longue analyse faite sur https://dialogueabraham.forum-pro.fr/t1976-la-parole-de-jesus-christ-a-la-sauce-marguerat#41412
LE PROCESSUS DE COMPOSITION DES ÉVANGILES SELON MARGUERAT
Les deux postulats de départ sont dans les encadrés en jaune.
Les autres encadrés sont les arguments " déconstruisant " la chaîne de transmission fiable entre Jésus et les Évangiles.
Les flèches indiquent un léger développement par rapport aux postulats. Les doubles lignes indiquent une répétition sans variation de ces postulats.
Ce qu'on pourra retenir de ce diagramme, c'est d'abord que tout ce qui semble " démontré " - dans cette théorie - n'est que la répétition des deux postulats décrits au précédent post (c'est un raisonnement circulaire) et qu'ainsi décrite - par cette théorie - la transmission fiable entre les Évangiles et leur auteur principal éventuel paraît totalement impensable, impossible. Cela serait très inquiétant pour les chrétiens, si la démonstration était d'une parfaite impartialité et si elle était vraiment informée sur le plan historique - mais ce n'est pas le cas. On peut même dire qu'une interprétation unilatérale est systématiquement à l'oeuvre - avec cette théorie - en plus des deux postulats rationalistes littéralement intégrés dans la méthode.
De là l'intérêt de jeter un coup d’œil sur ce que pourrait être une véritable tradition orale (post suivant).
Roque- Messages : 5064
Réputation : 23
Date d'inscription : 15/02/2011
Age : 80
Localisation : Paris
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Article de saison qui mérite peut-être notre attention pour des pistes vers de nouveaux auteurs ou chercheurs!?
Peut-on savoir qui était réellement Jésus ?
20 décembre 2018
Jésus est le personnage de l’Antiquité sur lequel on a, de loin, le plus écrit. Mais que sait-on réellement sur la figure historique du Christ ? Dans quelle mesure une approche scientifique est-elle possible ?source article: https://theconversation.com/peut-on-savoir-qui-etait-reellement-jesus-107406
- suite:
Deux siècles de recherches scientifiques sur Jésus
Hermann Samuel Reimarus (1694-1765) est le premier chercheur qui s’intéressa au personnage historique de Jésus. Son livre ne fut publié qu’après sa mort (Von dem Zwecke Jesu und seiner Jünger, Berlin, 1784). Le Galiléen fut, selon Reimarus, un révolutionnaire juif, mis à mort par les Romains. C’est alors que certains de ses disciples, refusant sa mort, auraient volé son corps et fait croire en sa résurrection. Ils auraient également inventé le thème du retour prochain du Messie.
Un peu plus tard, David Friedrich Strauss (Das Leben Jesu, Tübingen, 1835) souligne les discordances entre les Évangiles qui ne reposeraient sur aucune réalité historique. Il ne s’agirait que d’un ensemble de mythes. Poussant cette tendance à l’extrême, Bruno Bauer va jusqu’à nier l’historicité de Jésus. Une thèse récemment reprise par Michel Onfray.
Moins sceptique, Ernest Renan (Vie de Jésus, Paris, 1863) dépeint un « doux rêveur de Galilée » et un « charmeur » transformé en messie, malgré lui, par le besoin d’adorer de ses partisans. « Il n’arrive de miracles, écrit Renan, que dans les temps et les pays où l’on y croit, devant des personnes disposées à y croire ».
Au début du XXe siècle, Albert Schweitzer (Von Reimarus zu Wrede, Tübingen, 1906) dresse un bilan plutôt négatif des recherches réalisées, considérant que Jésus demeure une véritable énigme historique.
Démythologiser Jésus
En 1926, la recherche est relancée par Rudolf Bultmann (Jesus, Tübingen, 1926) qui présente les Évangiles comme des recueils de légendes, élaborées après la mort de Jésus par les premiers chrétiens. Il se propose de « démythologiser » ces textes afin de retrouver le Jésus véritable. Il entreprend un travail de décorticage de ce qu’il considère comme les couches successives de discours et de traditions qui seraient venues se superposer à un noyau dur de propos authentiquement tenus par Jésus. Les successeurs de Bultmann cherchèrent, à leur tour, à repérer des traces du Jésus historique dans, ou plutôt « sous » les Évangiles. Les éléments retenus comme authentiques sont ceux que les chercheurs jugent les plus plausibles, mais leurs critères de plausibilité demeurent discutables.
En 1985, Robert Funk fonda, aux États-Unis, le fameux Jesus Seminar qui regroupa jusqu’à 150 chercheurs. Le but de cette équipe, qui se réunissait deux fois par an, était d’analyser les paroles et les actes attribués à Jésus dans les sources antiques. Les différents passages des Évangiles étaient soumis au vote des participants qui devaient ainsi départager les propos authentiques des inventions tardives. Les méthodes du Jesus Seminar firent l’objet de nombreuses attaques et moqueries, relayées par la presse.
La thèse du travestissement
La démythologisation de Jésus a conduit à mettre en évidence le noyau « juif » des Évangiles.
Jésus appartenait au judaïsme. Mais, une fois ce positionnement admis, le problème de la définition de Jésus demeure presque entier, car le judaïsme du Ier siècle n’était nullement unifié. Entre les sadducéens, les pharisiens, les esséniens et les autres mouvements se revendiquant du judaïsme, diverses manières d’être juif coexistaient. Reste donc encore à savoir de quel mouvement Jésus était le plus proche.
Ed P. Sanders (Jesus and Judaism, Londres, 1985) voit en Jésus un prophète de la restauration d’Israël : il annonçait l’avènement d’un royaume et était perçu comme un souverain. L’aristocratie juive et le pouvoir romain ne s’étaient donc nullement trompés en le condamnant à mort pour aspiration à la royauté.
Pour Geza Vermes (Jesus the Jew, Londres, 1973), par contre, Jésus était un sage juif enseignant dans les synagogues. Son message initial aurait ensuite été dénaturé, notamment par l’évangile selon Jean. Le vrai Jésus aurait été travesti par les spéculations théologiques de ses héritiers qui auraient assuré sa promotion au rang de Dieu.
Plus polémique encore, Hyam Maccoby (The Mythmaker, New York, 1987) affirme que le personnage historique de Jésus, très proche des pharisiens, aurait été radicalement déformé après sa mort. Le coupable de cette manipulation serait Paul, inventeur du christianisme, alors que Jésus n’aurait pas lui-même été chrétien. Paul se serait inspiré de certains cultes polythéistes pour forger la religion chrétienne, en plaquant du paganisme sur le judaïsme pharisien de Jésus.
Replacer Jésus dans son contexte
L’approche historique consiste aussi à mener l’enquête sur le contexte dans lequel vécut le Christ. C’est ce que fit John Dominic Crossan (The Historical Jesus, San Francisco, 1991). Il en déduit que Jésus, juif rural, se fit le promoteur d’un égalitarisme social qui le conduisit irrémédiablement à entrer en conflit avec l’aristocratie cléricale de Jérusalem. L’étude du contexte historique suggère que Jésus fut une figure de la résistance des petits paysans galiléens face aux opulentes villes de Sepphoris et Tibériade, dont le récent essor avait profondément bouleversé les pratiques agricoles traditionnelles. L’urbanisation de la Galilée aurait eu des conséquences néfastes pour les paysans fragilisés par le développement de la monoculture, seule capable de répondre aux besoins des citadins. La disparition des fermes autosuffisantes consacrées à la polyculture aurait ainsi aggravé le sort des campagnards exploités.
Un des apports de l’œuvre de Crossan est d’accorder une grande importance aux témoignages archéologiques, bien qu’ils soient peu nombreux et souvent controversés. On retient surtout, une inscription découverte à Césarée Maritime mentionnant le nom de Ponce Pilate, le gouverneur romain qui valida la condamnation à mort de Jésus ; la cheville droite, transpercée d’un clou, d’un condamné à mort, crucifié au Ier siècle ; l’ossuaire supposé du grand-prêtre Caïphe ; les ruines de Capharnaüm où aurait été identifiée la maison de Pierre sous les restes d’une église byzantine et un bateau de l’époque de Jésus retrouvé dans le lac de Tibériade.
Toujours à partir de l’étude du contexte historique, Reza Aslan (Zealot, New York, 2013) présente Jésus comme un rebelle en lutte contre la domination romaine et ses alliés locaux. Il aurait développé un discours anti-élite dans le but notamment de déstabiliser l’aristocratie sacerdotale de Jérusalem.
Quelques principes méthodologiques
Les objectifs de l’historien de Jésus me paraissent être les suivants :
proposer une approche profane, sans miracles ni résurrection (si ce n’est comme des thèmes du discours), en écartant, par la même occasion, toute idée de destin ou de volonté divine ;
partir d’une présomption d’authenticité concernant les sources, l’hypothèse d’une réécriture ou d’une déformation postérieure ne pouvant être admise qu’après avoir épuisé toutes les autres possibilités ;
traiter les Évangiles comme les autres textes antiques, notamment les biographies de grands personnages (Vies de Plutarque, Res Gestae d’Auguste…) ;
tenter de construire une chronologie de la carrière de Jésus, malgré les divergences entre les Évangiles ;
replacer Jésus dans son contexte historique et social : la Galilée et la Judée sous domination romaine ;
comparer Jésus avec les autres leaders du moment (messies juifs anti-romains, rois hellénistiques, empereurs romains) et aux héros de la mythologie gréco-romaine, afin d’identifier d’éventuelles thématiques communes (filiation divine du chef, message de « Bonne Nouvelle », guérisons miraculeuses…) ou bien des divergences (virginité de Marie, résurrection terrestre de Jésus…) ;
proposer une finalité, c’est-à-dire des causes et des conséquences : pourquoi Jésus fait-il ce qu’il fait ? Comment y parvient-il ? Peut-on trouver, dans les Évangiles, les indices d’une stratégie de communication de Jésus ?
Le Jésus historique apparaît alors comme un leader toujours en devenir, à la manière de beaucoup d’hommes politiques : il s’adapte aux circonstances ; il lui arrive même de changer d’avis. Cette perspective permet de comprendre ses succès et ses échecs, comme pour tout autre grand personnage de l’histoire antique.
Christian-Georges Schwentzel a publié « Les Quatre Saisons du Christ, un parcours politique dans la Judée romaine », éditions Vendémiaire.
Idriss- Messages : 7075
Réputation : 35
Date d'inscription : 25/05/2012
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Merci beaucoup, c'est très intéressant, mais c'aurait été plus correct de ne pas copier intégralement, même en "spoiler". Ce n'est pas parce qu'on met quelque chose à disposition en ligne qu'on n'a plus aucune propriété intellectuelle dessus, y compris le droit de l'enlever ou de le modifier. C'est comme un livre, n'importe qui peut l'acheter en librairie ou l'emprunter en bibliothèque ou à son entourage, mais on n'a pas le droit de le recopier n'importe comment.Idriss a écrit:Article de saison qui mérite peut-être notre attention pour des pistes vers de nouveaux auteurs ou chercheurs!?
Sur le fond, depuis Reimarus, mentionné, on tourne pratiquement autour de tout ce qui rapproche Jésus des autres candidats messies galiléens du premier siècle... et c'est un peu court de s'en tenir au "rendez à César..." quand on le replace dans le contexte précis de l'Evangile de Luc.
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Spin a écrit:Merci beaucoup, c'est très intéressant, mais c'aurait été plus correct de ne pas copier intégralement, même en "spoiler". Ce n'est pas parce qu'on met quelque chose à disposition en ligne qu'on n'a plus aucune propriété intellectuelle dessus, y compris le droit de l'enlever ou de le modifier. C'est comme un livre, n'importe qui peut l'acheter en librairie ou l'emprunter en bibliothèque ou à son entourage, mais on n'a pas le droit de le recopier n'importe comment.Idriss a écrit:Article de saison qui mérite peut-être notre attention pour des pistes vers de nouveaux auteurs ou chercheurs!?
Donc d’après vous j'aurais du mettre uniquement le lien , au cas ou l'auteur voulais supprimer sa publication? Dans ce cas là elle reste accessible avec google en cache!
Cet article dont j'ai pris soin de mettre les références fait la promo d'un livre dont l'auteur je pense ne m'en voudra pas trop d'avoir fait le relais !
Il y a la règle et l'esprit !
Idriss- Messages : 7075
Réputation : 35
Date d'inscription : 25/05/2012
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Pas tout ne veut pas dire rien. L'usage est de mettre un résumé ou le début. Quand on met quelque chose en ligne on a aussi envie et besoin (ça peut être vital pour des pros), indépendamment même de la question de propriété, de savoir si c'est lu ou pas, donc si ça valait la peine ou pas. Si la copie se généralise, les moteurs de recherche enverront d'abord sur les copies des forums ou blogs, et à la limite l'auteur, ne voyant pas ses compteurs tourner, pourra croire à tort qu'il ou elle a fait un bide et se décourager (voire perdre son job dans certains cas)...Idriss a écrit:Donc d’après vous j'aurais du mettre uniquement le lien , au cas ou l'auteur voulais supprimer sa publication?
Soit, mais ça pouvait se faire sans tout copier...Idriss a écrit: Dans ce cas là elle reste accessible avec google en cache!
Cet article dont j'ai pris soin de mettre les références fait la promo d'un livre dont l'auteur je pense ne m'en voudra pas trop d'avoir fait le relais !
Il y a la règle et l'esprit !
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Bonjour Spin,
Très intéressant.
J'aurais cru que le respect dû à l'auteur était de ne procéder à aucune altération de son texte.
Pour les moteurs de recherche, je crains que donner seulement le début ne change pas grand chose.
Faut-il ne mettre que le lien, supposé officiel mais on n'en sait rien, de l'article ?
Très cordialement
votre sœur
pauline
Spin a écrit:Soit, mais ça pouvait se faire sans tout copier...
Très intéressant.
J'aurais cru que le respect dû à l'auteur était de ne procéder à aucune altération de son texte.
Pour les moteurs de recherche, je crains que donner seulement le début ne change pas grand chose.
Faut-il ne mettre que le lien, supposé officiel mais on n'en sait rien, de l'article ?
Très cordialement
votre sœur
pauline
Invité- Invité
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Bonjour Pauline,
Aussi, mais ça ne suffit pas. Soit dit en passant, si on s'en tient là ça ouvre la voie à toutes les ruses parfois abjectes des citations tronquées.pauline.px a écrit:Bonjour Spin,
Très intéressant.
J'aurais cru que le respect dû à l'auteur était de ne procéder à aucune altération de son texte.
Pourquoi ? On a le droit de citer sans autorisation des passages d'un livre dans un autre livre, mais la jurisprudence limite ça à 10 lignes (de l'original) d'un seul tenant. C'est arbitraire, mais il y a forcément une limite arbitraire. Pourquoi serait-ce fondamentalement différent pour ce qui est en ligne ? Je répète qu'il y a des gens dont le job en dépend.Pour les moteurs de recherche, je crains que donner seulement le début ne change pas grand chose.
Re: Jc Mythe ou réalité historique
Au fait, quelques exemples : http://pagesperso-orange.fr/daruc/divers/tronc.htmSpin a écrit:Soit dit en passant, si on s'en tient là ça ouvre la voie à toutes les ruses parfois abjectes des citations tronquées.
Bon, d'accord, on est loin de l'historicité de Jésus. On peut toujours transférer cette discussion particulière ailleurs...
Page 24 sur 24 • 1 ... 13 ... 22, 23, 24
Sujets similaires
» La Genèse plagia d'un mythe summérien ?
» Mythe et réalité... en général
» Moïse et l'exode des Hébreux - Du Mythe à la Réalité (vidéo)
» Le déluge , fait historique ou mythe religieux ?
» L'exil des Juifs : entre mythe et histoire
» Mythe et réalité... en général
» Moïse et l'exode des Hébreux - Du Mythe à la Réalité (vidéo)
» Le déluge , fait historique ou mythe religieux ?
» L'exil des Juifs : entre mythe et histoire
Page 24 sur 24
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum