Enseignement et islamisme

[Jans]

Il faut ouvrir les yeux (y compris les miens) sur la guerre larvée que mène l'islamisme par l'intermédiaire de ses ados fanatisés contre l'Éducation Nationale (dont je suis). On mentionne aujourd'hui une enseignante ayant montré des femmes nues du XVIIIè siècle, dont certains élèves se seraient détournés. Bon, il faut qu'on arrête, qu'on expulse les anti-civilisation-française-et droits-de-l'homme et qu'on les mette dans un camp (paramilitaires- de jeunes à rééduquer. L'enseignant isolé dans sa classe ne sait plus comment réagir : Gabriel Attal (famille juive sépharade) semble aller dans la bonne direction. Nous sommes à un tournant (que j'ai mis longtemps à comprendre), il ne faut pas le rater.

[Spin]

Il faut ouvrir les yeux (y compris les miens) sur la guerre larvée que mène l'islamisme par l'intermédiaire de ses ados fanatisés contre l'Éducation Nationale (dont je suis). On mentionne aujourd'hui une enseignante ayant montré des femmes nues du XVIIIè siècle, dont certains élèves se  seraient détournés. Bon, il faut qu'on arrête, qu'on expulse les anti-civilisation-française-et droits-de-l'homme et qu'on les mette dans un camp (paramilitaires- de jeunes à rééduquer. L'enseignant isolé dans sa classe ne sait plus comment réagir : Gabriel Attal  (famille juive sépharade) semble aller dans la bonne direction. Nous sommes à un tournant (que j'ai mis longtemps à comprendre), il ne faut pas le rater.

Bien d'accord sur le constat. Mais, qu'on les mette dans un camp, vraiment ? Il faudrait commencer par les créer, ces camps, donc l'annoncer. J'imagine le tollé...

Je ne vois pas quoi faire de plus qu'exclure de l'établissement, sauf s'il y a délit caractérisé.

[Spin]

Et au fait, plus sur cette affaire : https://www.lefigaro.fr/faits-divers/des-professeurs-en-danger-dans-un-college-des-yvelines-apres-avoir-presente-en-cours-une-oeuvre-d-art-du-xviie-siecle-20231211
Début : "Ce lundi 11 décembre, plusieurs professeurs du collège Jacques-Cartier à Issou, dans les Yvelines, ont exercé leur droit de retrait. Ils assurent se sentir «en danger» après qu’une enseignante de français a montré à sa classe une œuvre d’art présentant cinq femmes nues. D’après nos informations, les cours ont été suspendus ce lundi et le ministre de l’Éducation nationale, Gabriel Attal, était sur place ce lundi après-midi, accompagné du sous-préfet.
Les faits se sont déroulés le jeudi 7 décembre. Pour mieux appréhender un texte étudié en cours, le professeur de français a présenté à ses élèves de 6e le «Diane et Actéon» du peintre maniériste italien Giuseppe Cesari. L’œuvre illustre un passage des Métamorphoses d’Ovide. On y voit Actéon puni d’avoir surpris Diane et ses nymphes nues : la déesse chaste qui châtie tous les hommes tentant de la séduire transforme Actéon en cerf.
Les élèves se sont alors révoltés, assurant être «choqués» par la vision de ces cinq femmes en tenue d’Ève, nous rapporte une source bien informée. Ils auraient également accusé leur professeur de racisme, estimant qu’il s’agissait d’une provocation de la part de l’enseignante qui aurait voulu viser ses élèves de confession musulmane en leur montrant des femmes nues...".

[Spin]

Et au fait, il y a un point commun avec l'affaire Samuel Patty. Dans les deux cas, l'enseignant ou l'enseignante a montré à sa classe des représentations de nudité, ce qui a fait d'abord réagir des élèves. Je n'en tire pas de conclusion sinon qu'il y a matière à réflexion et prise de recul.

[Jans]

pas de quoi fouetter un chat.... Il y avait les Enfants de Troupe, qu'on les recrée pour y mettre les élèves irrécupérables.

[Spin]

pas de quoi fouetter un chat.... Il y avait les Enfants de Troupe, qu'on les recrée pour y mettre les élèves irrécupérables.

Pour nous qui y sommes habitués, oui, mais on parle de collégiens de sixième (dans les 12 ans) et d'une autre culture. Ils pouvaient d'ailleurs avoir en tête ceci (Samuel Paty aurait décidément mieux fait de prendre les dessins danois, plus didactiques et moins orduriers) :

Edit, tellement ordurier que je préfère enlever... je suppose qu'on voit de quoi je parle...

[Jans]

Cela dit, je n'aurais pas montré ce tableau à des 6è : j'étais très prudent quand j'enseignais. Et j'étais dans des conditions très favorables (régions favorisées, puis Classes Préparatoires durant 25 ans). Rien à voir avec ce que subissent les collègues d'aujourd'hui. Après un incident, il y a toujours quelque chose qui aux yeux de la direction parle contre vous, même si on est victime. Et que de proviseur(e)s médiocres à tous points de vue !

[-Ren-]

Après un incident, il y a toujours quelque chose qui aux yeux de la direction parle contre vous, même si on est victime

Exactement.
Et à mes yeux, c'est l'aspect le plus rébarbatif de mon métier : les difficultés avec les ados, "c'est le jeu, c'est normal" ; les difficultés avec les parents, c'est pénible, mais parent moi-même, j'accepte ; MAIS le fait que notre propre institution nous tire systématiquement dans le dos au moindre incident, avec l'appui de l'ensemble de la société : ça, c'est imbuvable. Et d'ailleurs, ils ont fini par avoir raison de la patience de ma femme, qui après 20 ans de carrière, s'apprête, comme beaucoup, à abandonner ce métier.

Pour en revenir au point de départ de ce fil de discussion (que je revenais justement ouvrir au cas où...), un article que je trouve très parlant :

Lettre à mes élèves d’hier, d’aujourd’hui et de demain

Quand j’avais votre âge, je souhaitais déjà devenir professeur car je savais que je m’épanouirais aux côtés de ceux qui ont l’âge des grands emballements, des grands enthousiasmes qui vous font plonger des mois durant dans les Rougon-Macquart ou les romans des sœurs Brontë. Etre professeur, c’est être dans le cœur de ce qui est important, dans le bouillonnement.

Mais parmi vous monte quelque chose qui m’inquiète et contre lequel je bute, quelque chose de bruyant et qui hurle : tout sera bientôt impossible. Je l’ai vu presque partout, dans tous les établissements où j’ai enseigné : une morale rabougrie et aveugle, qui n’est ni de votre âge ni de notre siècle. Nul besoin de fréquenter une école pour le savoir. Le phénomène est si important dorénavant qu’il est dans la presse depuis quelques années. Dernier événement en date : une professeure de français diffamée et accusée d’islamophobie, pour avoir montré un tableau du XVIIe siècle peint par Cavalier d’Arpin [de son vrai nom Guiseppe Cesari, NDLR] représentant Actéon qui surprend Diane et ses nymphes, nues, au bain.

Cet incident n’est pas anecdotique. Il témoigne d’un mouvement profond qui transforme le rapport de certains élèves à l’art. Ce changement, je l’ai moi-même observé dans mes classes au cours de mes treize années d’enseignement au collège et au lycée.

Spoiler:

Que me disent ces élèves pour justifier leur réaction ? Le sujet de l’œuvre étudiée est tout simplement et incontestablement immoral. Il heurte leur sensibilité, leur pudeur, leur religion. Etais-je donc insensible, impudique et dévoyé, moi qui lisais ces œuvres au même âge qu’eux ?

Spoiler:

Une partie du programme proposé par l’Education nationale était à leurs yeux indécente et, disons le mot, pornographique. Je me souviens qu’une élève de terminale est venue me trouver à la fin d’un cours sur le surréalisme pour me dire qu’elle priait pour moi. Mon âme était condamnée. La leur était sauvée.

Mais dans ma chute en enfer, je comprenais certaines choses.

Il y a parmi ces élèves une obsession de la pureté et, de facto, de la souillure qu’ils traquent partout, même où elle n’est pas. On ne doit, selon eux, ni penser le corps ni penser son langage particulier. L’idéal dont ils rêvent : un monde expurgé de tout désir apparent. Les conséquences sont considérables. Pour moi, c’est la censure. Pour eux, c’est bien pire : une négation du corps, un refoulement du désir, une incapacité à se comprendre soi-même. Qu’adviendra-t-il de ces jeunes femmes et jeunes hommes vivant avec un tel impensé de ce qui bouillonne en eux ? La littérature n’est-elle pas tout occupée à fouiller, modeler, éclairer les forces étouffées qui nous travaillent ? N’est-ce pas grâce à elle que nous parvenons à mieux nous comprendre, à mieux nous maîtriser ?

Leur bigoterie est redoutable car elle n’est ni honteuse ni dissimulée. Elle se revendique fièrement, bruyamment. Ce refus de voir et de lire est bavard, il dit : « Je suis pur et vous êtes corrompu. » Il dit : « Je m’élève et vous vous abaissez ». Il opère un retournement : le professeur est sermonné, remis dans le droit chemin, catéchisé par ses élèves qui prennent le pouvoir. « On ne montre pas ça, on n’écrit pas ça, on ne peint pas ça. Tirez le rideau sur ces pulsions. Cachez ! Cachez ! Cachez ! »

Ce qui m’inquiète le plus n’est pas ce retour à un ordre moral. La littérature en a affronté d’autres. Peut-être même a-t-il le mérite de revivifier des œuvres dont nous avons aujourd’hui du mal à percevoir la dimension scandaleuse de leur genèse. Non, ce qui m’alarme est ce nouveau rapport à la littérature qui s’installe : littéral, religieux, refusant l’interprétation. La littéralité signifie la mort de la littérature. Pour ces élèves, ce qui est écrit doit être vrai et se donner pour modèle aux lecteurs. La littérature deviendrait un édifiant manuel de bonne conduite, un guide de développement personnel, une suite de préceptes moraux et religieux. Car surtout la littérature ne doit pas gêner. C’est une vision arrangeante voire complaisante de la littérature que ces élèves nous proposent.

Alors que faire ? Une seule solution : réaffirmer ce qu’est ou doit être la littérature, c’est-à-dire un art qui par essence remet en question, déstabilise et bouleverse le lecteur. Un art qui s’épanouit en dehors de toute considération morale et qui ne flattera jamais les illusions ni les préconçus. Car la littérature ne cajole pas, elle désaxe, décentre, désosse le lecteur pour lui permettre de penser autrement, contre lui-même, en entrant dans la pensée d’un autre.

Spoiler:

Je m’adresse pour finir à mes élèves d’hier, d’aujourd’hui et demain : en classe nous vous faisons lire des textes qui vous transformeront nécessairement. C’est ainsi qu’opère la littérature, elle vous extirpe de vous-mêmes, de votre monde, de votre morale. Cela peut faire peur, je le comprends très bien : on ne quitte pas un univers familier pour l’inconnu si facilement que cela. Il y a une violence nécessaire à grandir, mûrir et abandonner ce en quoi l’on croyait. Mais il y a surtout un plaisir immense à éclore sous une nouvelle forme. Car voici notre rôle : vous permettre un mouvement intérieur de l’esprit et de l’âme. Et ce mouvement d’éclosion, cet accouchement de vous-mêmes, ne viendra que grâce aux savoirs que nous vous enseignons, que grâce aux arts auxquels nous vous initions. Ne croyez pas les fanatiques et les obscurantistes qui vous disent le contraire, ils vous mentent. Ce mouvement, nous devons vous l’imposer car lui seul permettra ce que votre nom d’élève vous a promis dès lors que vous êtes entrés dans une école et que nous nous sommes rencontrés : vous élever au-dessus de vous-mêmes

https://www.nouvelobs.com/bibliobs/20240109.OBS83056/aux-yeux-de-certains-eleves-une-partie-du-programme-est-indecente-voire-pornographique.html
...l'attitude ciblée ici, pour des connaisseurs tels que nous sur ce forum, est clairement lié à l'islamisme (cf par ex les travaux de ces dernières années sur la radicalisation islamiste, et son souci obsessionnel de pureté). Et c'est un problème de fond pour tous, musulmans et non-musulmans de ce pays.

[Jans]

Quand on a compris que, titulaire et syndiqué, un professeur peut en fait faire ce qu’il veut pourvu qu’il soit performant,  on respire ! Il faut de l’autorité et de l’intérêt pour les élèves, les soutenir… et on peut envoyer tout le reste voir ailleurs. En plus agrégé, vous êtes quasiment intouchable. Ce fut mon cas merci mon Dieu !

[-Ren-]

Quand on a compris que, titulaire et syndiqué, un professeur peut en fait faire ce qu’il veut pourvu qu’il soit performant,  on respire !

Dans l'état actuel des choses, non, on ne "respire" plus, puisqu'il faut enseigner en ayant conscience que n'importe quel incident peut désormais déraper, être monté en épingle d'une façon inimaginable autrefois (puisque désormais, il faut aussi gérer avec des menaces de mort, en tout cas dans la ville où je travaille), et que l'institution aura TOUJOURS comme 1ère réaction de désavouer l'enseignant et de lui mettre tous les torts sur le dos (sauf si on peut faire du problème initial un souci avec l'islamisme : là, c'est "bankable" et ça permet même aux institutionnels de se faire mousser devant les journalistes vu que le sujet est "à la mode"... sauf que là encore, les institutionnels mettent les profs en danger, car au final, sur le terrain, c'est nous qui sommes alors jugés responsables du dérapage médiatique lorsqu'il a lieu)

[Jans]

Il faut prendre en compte la sensibilité des gens, ados ou adultes.
Et en appeler à la police ou la justice le cas échéant.
Mais provoquer pour rien, pourquoi ? Saladin a été plus humain que bcp de croisés par exemple. Et Charlie a fourni des années durant des tombereaux d’ordures anti religieuses, d‘une vulgarité à vomir

[Idriss]

Il faut ouvrir les yeux (y compris les miens) sur la guerre larvée que mène l'islamisme par l'intermédiaire de ses ados fanatisés contre l'Éducation Nationale (dont je suis). On mentionne aujourd'hui une enseignante ayant montré des femmes nues du XVIIIè siècle, dont certains élèves se  seraient détournés. Bon, il faut qu'on arrête, qu'on expulse les anti-civilisation-française-et droits-de-l'homme et qu'on les mette dans un camp (paramilitaires- de jeunes à rééduquer. L'enseignant isolé dans sa classe ne sait plus comment réagir : Gabriel Attal  (famille juive sépharade) semble aller dans la bonne direction. Nous sommes à un tournant (que j'ai mis longtemps à comprendre), il ne faut pas le rater.

Vous êtes complémentent barré
Pourquoi vous n'avez rien dit quand vous avez vu les écoles catho intégristes où des gamins font de la provoque avec de vrais messages antisémites ? Combien d'écoles hors contrat comme celle là ? 80 dit le reportage ...
Alors il n' y a pas une guerre larvé de l'extréme droite ( Que Spin fait semblant d'ignorer ) qui visiblement a gagné la bataille idéologique , contrairement aux islamistes ...Et en embuscade les sionistes suprémacistes ( que spin fait semblant d'ignorer) ? Le tournant que vous voulez veux prendre c'est le même que Zemmour ...

https://youtu.be/I5BewjNASBQ?si=MkDyaanVn0XSazhc&t=2037

[Jans]

Je ne réponds pas à un malotru, une traîne-savates et un ramasse-mégot qui me traite de « barré ». Respecte moi ducon!

[Idriss]

Je ne réponds pas à un malotru, une traîne-savates et un ramasse-mégot qui me traite de « barré ». Respecte moi ducon!

Barré c'est pas une insulte c'est un constat ...
Ducon c'est une insulte  et si tu ne saisi pas la nuance c'est que tu es barré !
Dire que des gamins de 16 ans sont irrécupérable c'est être barré !
Les vieux cons  qui trouvent que  le libertinage  des soixante-huitard vos bien mieux que la pudibonderie  de cette décennie, et regrette que l'on ne puisse plus mettre la main dans les culottes des jeunes filles comme le faisait Depardieu  çà c'est irrécupérable ...

Les racistes qui ce lâchent sans retenus  çà c'est irrécupérable...
Alors allez demander de mettre dans des camps des gamins qui jouent les Tartuffes  c'est juste barré pour moi ou alors il faut mettre  la moitié de la France en camp ...
Mais pourquoi ce focaliser sur cette partie de la population française ? Elle avait une cible dans le dos alors c'est plus évident de la viser ?
Les petits catho intégristes  eux peuvent  entonner des chants nazi dans leur écoles hors contrat  pas de probléme c'est le folklore Français  c'est cà?
Et même les écoles catho privées   sois contrat avec ce tableau  , c'est la prof qui se fait virer  si des parents protestent  , mais ce ne sera pas dans les journaux!

Et oui cette la société française va mal  elle sort de toute rationalité  cela part dans tous les sens , cela se BARRE en couille ...
Le covid semble avoir grillé pas mal de cervelles ...Hier ceux qui pensaient que l'on était jamais allé sur la lune étaient des doux dingues ...aujourd'hui  on est en train de débattre sur la terre plate , chose insensée il y a encore quelques années ...

Les irrécupérables

Le magazine « Le Peuple breton » a reçu des centaines de messages racistes après sa Une avec un enfant métis:

En Allemagne, des responsables du parti d’extrême droite AfD envisagent l’expulsion en masse d’Allemands d’origine étrangère:

[Idriss]

Je ne réponds pas à un malotru, une traîne-savates et un ramasse-mégot qui me traite de « barré ». Respecte moi ducon!

Tu veux être respecté soit respectable !

Traine-savate:
Personne oisive, indigente.

Très drôle moi qui vient de passer la semaine dehors à bosser sur mon chantier par -2° de se faire traiter de Traine-savate de la part d'un retraité , un boomer qui a bien profité et qui laisse un monde en ruine , ruine écologique mais aussi morale et intellectuelle ! Cela ne te pose pas de probléme que je paye ta retraite, moi qui ne vais même pas profiter de la mienne ! Tu es venu aux manifs contre la réforme des retraites ou tu la trouves justifiée?

Quand au "Ramasse mégot" c'est un e allusion aux clochards ? C'est quoi ce mépris de classe, les pauvres seraient méprisables ou inférieusr à toi bien au chaud derriére ton ordi à bavasser sur les classes dangereuses et en premier lieu une certaine jeunesse irrécupérable ...
Ok je retire tu n'es pas barré , tu n'es pas parti d'un juste milieu sain , rationnel et humaniste , tu étais déjà juste un réactionnaire un peu facho qui avec l'air du temps peut laisser sa vrai nature s'exprimer ...Ce te convient mieux ?

Mais attention il faut tenir la barre si non la vieillesse devient un naufrage ...

[Idriss]

Gabriel Attal  (famille juive sépharade)

Pourquoi cette précision ? Il est aussi trentenaire , ou encore homosexuel ...
En quoi l'information sur son origine juive est pertinente pour le sujet ouvert ? Quel est le sous entendu culturel ?

[Jans]

Oui bien sûr tu es très amer. Je n’avais pas pensé qu‘on n’avait pas du tout les mêmes références culturelles, ce qui te fait prendre au premier degré ce qui n’est que jeu avec la langue.
J‘ai passé ma vie à alimenter les retraites des aînés, C’est le jeu. Je n’ai pas de mauvaise conscience. A vrai dire, le terme de „barré“ est ressenti négativement mais je ne l‘ai jamais employé.
Désolé pour ces échanges reposant sur des malentendus.

[Idriss]

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