Sexualité... enfin un peu de bon sens...
5 participants
Page 2 sur 2
Page 2 sur 2 • 1, 2
Re: Sexualité... enfin un peu de bon sens...
Les textes fournis sous spoiler ne m'informent pas sur la nature scientifique de l'homosexualité, Indian, et ce qu'il m'est donné de lire semble un pot-pourri de témoignages isolés. Je ne les commenterai donc pas. Mais puisque le sujet se prête aux revendications à l'encontre de la discrimination et de la violence, voici un article sur la dictature homosexuelle et LGBT qui me porte à réflexion. Y'aurait-il deux poids, deux mesures entre le discours politique de l'OMS et les agissements de la Gay-Pride ?
Nous avons mis des siècles à faire respecter la sphère privée ; à faire de la « chambre » un sanctuaire inviolable, à interdire l’entrée de la sphère intime au pouvoir ou au législateur ou au prêtre. Cette liberté fondamentale qui repose sur l’opposition public-privé est détruite par les adeptes de la Gay-pride. La relation intime, qu’elle soit hétérosexuelle ou homosexuelle, est ici totalement désacralisée et peut se donner à voir sans retenue. Le temple intime de chacun est profané.
http://www.elishean.fr/la-dictature-homosexuelle-et-lgbt/
Incognito- Messages : 145
Date d'inscription : 20/05/2018
Re: Sexualité... enfin un peu de bon sens...
Mais quelle dictature ? C'est une communauté très minoritaire. Qu'ils aient le droit de vivre et de voter, quoi de plus normal ? Car, enfin : ils font du tort à qui? en fait, personne.voici un article sur la dictature homosexuelle et LGBT qui me porte à réflexion. Y'aurait-il deux poids, deux mesures entre le discours politique de l'OMS et les agissements de la Gay-Pride ?
Jans- Messages : 3566
Réputation : 0
Date d'inscription : 21/03/2018
Age : 68
Localisation : IdF
Re: Sexualité... enfin un peu de bon sens...
Jans a écrit:Mais quelle dictature ? C'est une communauté très minoritaire. Qu'ils aient le droit de vivre et de voter, quoi de plus normal ? Car, enfin : ils font du tort à qui? en fait, personne.voici un article sur la dictature homosexuelle et LGBT qui me porte à réflexion. Y'aurait-il deux poids, deux mesures entre le discours politique de l'OMS et les agissements de la Gay-Pride ?
Si vous avez lu le texte du communiqué et que vous n'appréhendez aucune forme de dictature, alors nos opinions sont foncièrement divergentes sur la question. En ce qui me concerne, le dernier paragraphe à lui seul suffit à résumer ma position.
Encore une fois, je tiens à préciser qu’il ne faut pas confondre « l’homosexualité privée » qui est du domaine du libre choix, et « l’homosexualité publique ou politique » qui s’exprime à travers les manifestations publiques telles que celles de la Gay-pride, laquelle est l’expression d’une volonté totalitaire de prise du pouvoir par une minorité « radicalisée » visant à imposer à la majorité les normes d’une idéologie païenne.
Incognito- Messages : 145
Réputation : 0
Date d'inscription : 20/05/2018
Re: Sexualité... enfin un peu de bon sens...
Incognito a écrit:Les textes fournis sous spoiler ne m'informent pas sur la nature scientifique de l'homosexualité, Indian, et ce qu'il m'est donné de lire semble un pot-pourri de témoignages isolés.
desolé de n'avoir pas tout spoilé le natgeo.
mais je comprends tout à fait ta position.
indian- Messages : 2844
Réputation : 1
Date d'inscription : 10/10/2014
Re: Sexualité... enfin un peu de bon sens...
Au Cambodge, une blogueuse féministe brise les tabous du sexe
http://www.lapresse.ca/techno/internet/201806/22/01-5186844-au-cambodge-une-blogueuse-feministe-brise-les-tabous-du-sexe.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_asie-oceanie_290_section_POS1
http://www.lapresse.ca/techno/internet/201806/22/01-5186844-au-cambodge-une-blogueuse-feministe-brise-les-tabous-du-sexe.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_asie-oceanie_290_section_POS1
- Spoiler:
Les jouets sexuels, l'infidélité et la taille des pénis sont des sujets tabous au Cambodge, bien plus qu'en Thaïlande voisine. Mais une jeune blogueuse défie le conservatisme de cette société bouddhiste d'Asie du Sud-Est.
Sur sa page Facebook, A dose of Cath, elle aborde des thématiques allant de problèmes gynécologiques comme le cancer du col de l'utérus à la sexualité féminine en passant par le harcèlement.
Son succès lui a valu l'attention du magazine américain Forbes, qui l'a classée en mars dans sa liste des 30 entrepreneurs de moins de 30 ans les plus influents d'Asie.
Dans l'une de ses dernières vidéos, celle qui s'identifie sous le pseudonyme «Catherine Harry» pointe du doigt la misogynie d'un classique de la poésie khmère, dans lequel les femmes sont priées de ne pas rire trop fort. Elle a été vue par 350 000 internautes, un tour de force pour un plan fixe sur une jeune femme parlant de poésie.
«Le but de mes vidéos est de lancer le débat... car les gens ne parlent pas vraiment entre eux des sujets que j'aborde», explique la jeune femme de 23 ans, recevant l'AFP dans son appartement de Phnom Penh, où elle enregistre elle-même ses vidéos, devant un rideau, le regard plongé dans l'objectif.
Elle parle sans fard des relations sexuelles avant le mariage, des films pornographiques et de la culture du viol dans ce pays où les taux de violences sexuelles sont alarmants: selon une étude de l'ONU de 2014, un Cambodgien sur cinq a déjà commis un viol.
La blogueuse, qui a étudié l'économie des médias de masse à l'Université de Phnom Penh, a tenté de relayer le mouvement MeToo au Cambodge, qui a pris racine dans d'autres pays d'Asie. Mais en vain.
«Si une femme parle de ses expériences d'agression sexuelle ou de harcèlement sexuel, elle sera rejetée par la société, par sa famille et ses amis», explique cette féministe qui a lancé son blog en 2016, après avoir travaillé sur la question du genre pour la britannique BBC.
Elle privilégie Facebook pour poster ses vidéos, ce réseau social étant de loin le plus populaire au Cambodge, où elle fait figure de pionnière.
Avec plus de 200 000 abonnés sur Facebook, elle réussit aujourd'hui à vivre de ses seules activités de blogueuse et alterne ainsi les vidéos engagées avec d'autres, commerciales, vantant les mérites de crèmes pour le visage ou d'une marque de préservatifs.
Harcèlement
Pour elle, le sexe avant le mariage est «l'affaire de deux personnes» libres de leur choix, dans un pays où les pressions familiales sont importantes notamment sur les femmes.
Certains désapprouvent son militantisme, ce qui lui vaut régulièrement d'être harcelée par des «trolls» lui envoyant des images pornographiques. D'autres l'accusent de «ruiner» la culture du Cambodge, de ne pas être «une vraie femme». «On m'a traité de démon du sexe», explique-t-elle, en riant avec le recul.
Episode révélateur du conservatisme ambiant: en 2016, une image de la Première Dame, Bun Rany, avait fait scandale. Elle apparaissait sur ce qui était un photo-montage avec les genoux très légèrement écartés sur un cliché officiel, une pose jugée inappropriée, les femmes étant censées se tenir pieds joints.
Dans ce pays de 15 millions d'habitants où un tiers de la population a moins de 30 ans, les vidéos de la jeune blogueuse ont un public grandissant, qui vante «son audace à aborder ces sujets», comme l'écrit un internaute.
La popularité des réseaux sociaux au Cambodge a conduit le premier ministre Hun Sen à investir fortement dans une stratégie de communication en ligne, notamment via Facebook. Un espace sur lequel il n'hésite par à adresser des conseils personnels aux Cambodgiens sur le mariage notamment, vantant la monogamie comme la meilleure des préventions contre le sida.
En ligne de mire: les jeunes électeurs, population clef des législatives de juillet, à l'approche desquelles le chef de l'opposition a été emprisonné et son parti dissous.
Dans l'une de ses dernières vidéos, le Premier ministre s'interroge: «Pourquoi épouser un drogué, un bandit ou un alcoolique? C'est un message aux jeunes, pour qu'ils agissent bien
indian- Messages : 2844
Réputation : 1
Date d'inscription : 10/10/2014
Re: Sexualité... enfin un peu de bon sens...
indian a écrit:Au Cambodge, une blogueuse féministe brise les tabous du sexe
http://www.lapresse.ca/techno/internet/201806/22/01-5186844-au-cambodge-une-blogueuse-feministe-brise-les-tabous-du-sexe.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_asie-oceanie_290_section_POS1
- Spoiler:
Les jouets sexuels, l'infidélité et la taille des pénis sont des sujets tabous au Cambodge, bien plus qu'en Thaïlande voisine. Mais une jeune blogueuse défie le conservatisme de cette société bouddhiste d'Asie du Sud-Est.
Sur sa page Facebook, A dose of Cath, elle aborde des thématiques allant de problèmes gynécologiques comme le cancer du col de l'utérus à la sexualité féminine en passant par le harcèlement.
Son succès lui a valu l'attention du magazine américain Forbes, qui l'a classée en mars dans sa liste des 30 entrepreneurs de moins de 30 ans les plus influents d'Asie.
Dans l'une de ses dernières vidéos, celle qui s'identifie sous le pseudonyme «Catherine Harry» pointe du doigt la misogynie d'un classique de la poésie khmère, dans lequel les femmes sont priées de ne pas rire trop fort. Elle a été vue par 350 000 internautes, un tour de force pour un plan fixe sur une jeune femme parlant de poésie.
«Le but de mes vidéos est de lancer le débat... car les gens ne parlent pas vraiment entre eux des sujets que j'aborde», explique la jeune femme de 23 ans, recevant l'AFP dans son appartement de Phnom Penh, où elle enregistre elle-même ses vidéos, devant un rideau, le regard plongé dans l'objectif.
Elle parle sans fard des relations sexuelles avant le mariage, des films pornographiques et de la culture du viol dans ce pays où les taux de violences sexuelles sont alarmants: selon une étude de l'ONU de 2014, un Cambodgien sur cinq a déjà commis un viol.
La blogueuse, qui a étudié l'économie des médias de masse à l'Université de Phnom Penh, a tenté de relayer le mouvement MeToo au Cambodge, qui a pris racine dans d'autres pays d'Asie. Mais en vain.
«Si une femme parle de ses expériences d'agression sexuelle ou de harcèlement sexuel, elle sera rejetée par la société, par sa famille et ses amis», explique cette féministe qui a lancé son blog en 2016, après avoir travaillé sur la question du genre pour la britannique BBC.
Elle privilégie Facebook pour poster ses vidéos, ce réseau social étant de loin le plus populaire au Cambodge, où elle fait figure de pionnière.
Avec plus de 200 000 abonnés sur Facebook, elle réussit aujourd'hui à vivre de ses seules activités de blogueuse et alterne ainsi les vidéos engagées avec d'autres, commerciales, vantant les mérites de crèmes pour le visage ou d'une marque de préservatifs.
Harcèlement
Pour elle, le sexe avant le mariage est «l'affaire de deux personnes» libres de leur choix, dans un pays où les pressions familiales sont importantes notamment sur les femmes.
Certains désapprouvent son militantisme, ce qui lui vaut régulièrement d'être harcelée par des «trolls» lui envoyant des images pornographiques. D'autres l'accusent de «ruiner» la culture du Cambodge, de ne pas être «une vraie femme». «On m'a traité de démon du sexe», explique-t-elle, en riant avec le recul.
Episode révélateur du conservatisme ambiant: en 2016, une image de la Première Dame, Bun Rany, avait fait scandale. Elle apparaissait sur ce qui était un photo-montage avec les genoux très légèrement écartés sur un cliché officiel, une pose jugée inappropriée, les femmes étant censées se tenir pieds joints.
Dans ce pays de 15 millions d'habitants où un tiers de la population a moins de 30 ans, les vidéos de la jeune blogueuse ont un public grandissant, qui vante «son audace à aborder ces sujets», comme l'écrit un internaute.
La popularité des réseaux sociaux au Cambodge a conduit le premier ministre Hun Sen à investir fortement dans une stratégie de communication en ligne, notamment via Facebook. Un espace sur lequel il n'hésite par à adresser des conseils personnels aux Cambodgiens sur le mariage notamment, vantant la monogamie comme la meilleure des préventions contre le sida.
En ligne de mire: les jeunes électeurs, population clef des législatives de juillet, à l'approche desquelles le chef de l'opposition a été emprisonné et son parti dissous.
Dans l'une de ses dernières vidéos, le Premier ministre s'interroge: «Pourquoi épouser un drogué, un bandit ou un alcoolique? C'est un message aux jeunes, pour qu'ils agissent bien
Sa robe résume bien l'article de presse. Ne dit-on pas qu'une image vaut parfois mille mots ?
Incognito- Messages : 145
Réputation : 0
Date d'inscription : 20/05/2018
Re: Sexualité... enfin un peu de bon sens...
Incognito a écrit:Sa robe résume bien l'article de presse. Ne dit-on pas qu'une image vaut parfois mille mots ?
en quoi?
je ne vois pas ce lien...
indian- Messages : 2844
Réputation : 1
Date d'inscription : 10/10/2014
Re: Sexualité... enfin un peu de bon sens...
Que la presse a bien joué son rôle et que l'habit fait le moine sur celle-là. Vu d'ici, j'accorde donc un vote de confiance.
Incognito- Messages : 145
Réputation : 0
Date d'inscription : 20/05/2018
Page 2 sur 2 • 1, 2
Sujets similaires
» du sens des mots...
» Qu'est ce que le messie, pour les juifs, les chrétiens, les musulmans ?
» Le sens du port du voile ?
» [SD] Le port du voile
» Le Coran aurait perdu son sens originel
» Qu'est ce que le messie, pour les juifs, les chrétiens, les musulmans ?
» Le sens du port du voile ?
» [SD] Le port du voile
» Le Coran aurait perdu son sens originel
Page 2 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum