Les Thamoud dans la réalité d’aujourd’hui
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Les Thamoud dans la réalité d’aujourd’hui
Bonjour ;
Nous connaissons plus au moins le récit du prophète Saleh et son peuple les Thamoud, dont il reste des traces de leur cité dans le site Al Hijr en Arabie.
Dans le Coran, le premier signe évoqué est celui de ce peuple, qui se caractérise par la chamelle ‘al naqa’a ’, petit rappel au passage, nous ne savons pas quel ont été les signes des peuples de Nouh et de Houd.
Ce peuple polythéiste a été réduit à néant à cause de leur pratique religieuse mais pas que, un autre élément entre en jeu.
Thamoud ‘ثمود’ vient du mot thamad ‘ثمد’ qui signifie le peu d’eau qui n’a pas été étendue, ils sont aussi désignés par Ashab Al Hidjr, et le mot hidjr signifie interdire l’accès, il indique un stade supérieur au mot hidjz dont le sens renvoie au mot barrière.
Il est donc question de manque d’eau et d’interdiction, hors, dans sourate Al Shuaar’a, les versets 146.147.148.149, on voit clairement que ce peuple avait la sécurité, des terres abondantes et suffisamment d’eau.
Si on voit de plus près leur signe, donc al naqa’a, et le choix d’el naqa’a n’a rien de hasardeux, mais ce n’est pas là le sujet, on voit à travers le verset ’17.59’ que cette naqa’a était ‘moubsirra’, c'est-à-dire qu’à travers elle, ce peuple avait toute l’aptitude de discerner ce dont il est question, et donc, de les mettre face à leurs propres méfaits.
Dans le Coran ’26.155’ et ’54.28’, on rentre dans le vif du sujet, à savoir le début de la sentence qui fait miroir à leur agissement, les Thamoud ne peuvaient boire qu’à un moment bien précis, et il est question la de seulement boire, ils ne pouvaient même pas en disposer pour autre chose, le mot ‘chirb’ est très clair à ce sujet, donc ils subissaient ce qu'ils avaient l'habitude d'infliger aux autres. Alors que, la chamelle avait tous les droits, et c’est là l’importance du mot ‘moubssira’, car hormis leur tour bien défini au Thamoud, ils ne pouvaient trouver de l’eau à d’autres moments alors que la chamelle en avait tout le temps, le doute n’était plus permis. La seule différence est que la chamelle prend mais donne, et ce peuple prenait mais ne donner pas.
Les Thamoud donc avaient cette richesse de l’eau, mais ce sont appliqués à interdire cette ressource essentielle suivant leurs bons vouloir, ils étaient des moufssidines tel que le précise le Coran ‘7.74’ ’26.151’ ’26.152’ ’27.48’, le fassid ‘فاسد’ qui veut dire pourri ou bien corrompu est l’opposé méme du mot saleh d’où le prénom du prophète Saleh .
Avant que la grande sanction ne leur tombe dessus, ils sont restés trois jours dans leurs maisons, dans le Coran ’54.31’, ils sont devenus ‘hachim’, qui veut dire complètement assécher, ce qui est normal si on passe trois jours sans une goutte d’eau, on pourrait dire, l’arroseur arrosé de nos jours.
Au final, ils ont été rayés de la carte pour deux raisons, leur polythéisme et leur méfait, cette fâcheuse tendance de s’accaparer une richesse en y interdisant l’accès à ceux qui en ont besoin également, et d’une manière globale ou locale dans le monde, les exemples qui s’inscrivent dans cette façon de faire ne manquent pas, que ce soit pour l’eau qui sera un des principaux vecteurs de guerre du siècle en cour, ou dans une plus large mesure, le fait que la richesse en général puisse être entre les mains d’une minorité qui abuse de ce privilège.
Wa Allah A’alam
Cordialement
Nous connaissons plus au moins le récit du prophète Saleh et son peuple les Thamoud, dont il reste des traces de leur cité dans le site Al Hijr en Arabie.
Dans le Coran, le premier signe évoqué est celui de ce peuple, qui se caractérise par la chamelle ‘al naqa’a ’, petit rappel au passage, nous ne savons pas quel ont été les signes des peuples de Nouh et de Houd.
Ce peuple polythéiste a été réduit à néant à cause de leur pratique religieuse mais pas que, un autre élément entre en jeu.
Thamoud ‘ثمود’ vient du mot thamad ‘ثمد’ qui signifie le peu d’eau qui n’a pas été étendue, ils sont aussi désignés par Ashab Al Hidjr, et le mot hidjr signifie interdire l’accès, il indique un stade supérieur au mot hidjz dont le sens renvoie au mot barrière.
Il est donc question de manque d’eau et d’interdiction, hors, dans sourate Al Shuaar’a, les versets 146.147.148.149, on voit clairement que ce peuple avait la sécurité, des terres abondantes et suffisamment d’eau.
Si on voit de plus près leur signe, donc al naqa’a, et le choix d’el naqa’a n’a rien de hasardeux, mais ce n’est pas là le sujet, on voit à travers le verset ’17.59’ que cette naqa’a était ‘moubsirra’, c'est-à-dire qu’à travers elle, ce peuple avait toute l’aptitude de discerner ce dont il est question, et donc, de les mettre face à leurs propres méfaits.
Dans le Coran ’26.155’ et ’54.28’, on rentre dans le vif du sujet, à savoir le début de la sentence qui fait miroir à leur agissement, les Thamoud ne peuvaient boire qu’à un moment bien précis, et il est question la de seulement boire, ils ne pouvaient même pas en disposer pour autre chose, le mot ‘chirb’ est très clair à ce sujet, donc ils subissaient ce qu'ils avaient l'habitude d'infliger aux autres. Alors que, la chamelle avait tous les droits, et c’est là l’importance du mot ‘moubssira’, car hormis leur tour bien défini au Thamoud, ils ne pouvaient trouver de l’eau à d’autres moments alors que la chamelle en avait tout le temps, le doute n’était plus permis. La seule différence est que la chamelle prend mais donne, et ce peuple prenait mais ne donner pas.
Les Thamoud donc avaient cette richesse de l’eau, mais ce sont appliqués à interdire cette ressource essentielle suivant leurs bons vouloir, ils étaient des moufssidines tel que le précise le Coran ‘7.74’ ’26.151’ ’26.152’ ’27.48’, le fassid ‘فاسد’ qui veut dire pourri ou bien corrompu est l’opposé méme du mot saleh d’où le prénom du prophète Saleh .
Avant que la grande sanction ne leur tombe dessus, ils sont restés trois jours dans leurs maisons, dans le Coran ’54.31’, ils sont devenus ‘hachim’, qui veut dire complètement assécher, ce qui est normal si on passe trois jours sans une goutte d’eau, on pourrait dire, l’arroseur arrosé de nos jours.
Au final, ils ont été rayés de la carte pour deux raisons, leur polythéisme et leur méfait, cette fâcheuse tendance de s’accaparer une richesse en y interdisant l’accès à ceux qui en ont besoin également, et d’une manière globale ou locale dans le monde, les exemples qui s’inscrivent dans cette façon de faire ne manquent pas, que ce soit pour l’eau qui sera un des principaux vecteurs de guerre du siècle en cour, ou dans une plus large mesure, le fait que la richesse en général puisse être entre les mains d’une minorité qui abuse de ce privilège.
Wa Allah A’alam
Cordialement
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Date d'inscription : 07/01/2018
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