origines des malheurs du monde
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Emmanuelle78
Nicolas
gad
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Re: origines des malheurs du monde
Honnêtement je crois être quelqu'un d'assez "bon", j'ai une éthique, une conscience, une morale, j'ai des défauts évidemment, mais je pense qu'en moi c'est plutôt le "bien" et le "bon" qui domine, toutefois je me connais aussi assez pour savoir qu'il y a aussi des coins de mon "intériorité" comme vous dites que vous ne souhaiteriez vraiment mais alors vraiment pas connaître, même brièvement. Et ma compagne à la même lucidité sur elle même. Et vous pouvez remercier le "Ciel" que je sois doté d'une conscience, d'une morale, et que les circonstances ne m'aient pas pousser à manifester le pire de moi, parce qu'il y a certains coin de mon "intériorité" qu'il vaut mieux garder en sommeil, faites moi confiance.
Je pense que vous ne savez pas ce que vous "souhaitez". Vous fantasmez sur quelque chose que, je crois, vous regretteriez vivement d'avoir si vous le possédiez.
Je doute que vous seriez heureux de connaître les abîmes de noirceur et de malveillance que peut receler le mental humain. Parce que chacun a des ténèbres en soi, pires je pense que tout ce que les scénaristes de romans ou de films peuvent imaginer.
Je pense à une parabole connue que je résume ici :
Un jour, un guerrier se rend auprès d'un moine et lui demande :
- Qu'est ce que l'Enfer et qu'est ce que le Paradis ?
Le moine le regard avec mépris, et dit d'un ton moqueur :
- Toi ? Un guerrier ? Sale ? Débraillé ? Laid ? Sentant mauvais ? Tu me demandes ce que sont l'Enfer et le Paradis ?
Le guerrier et alors en proie à une profonde colère, son corps se tend, ses veines s gonflent sur son cou, son visage devient tout rouge et grimaçant, il sort son épée, la lève et s'apprête à frapper le moine avec toute la force de sa haine.
Le moine dit alors :
- Ceci est l'Enfer.
Le guerrier suspend alors son geste. Il comprend. Il lache son arme et fond en larmes éperdu d'amour et de reconnaissance pour ce moine qui est allé jusqu’à risquer sa vie pour lui répondre.
Et le moine de dire :
- Ceci est le Paradis
Le mental humain contient l'Enfer et le Paradis. Vous avez les vôtres et moi les miens. Je doute que vous ayez envie de goûter à l'enfer des autres.
Je pense que vous ne savez pas ce que vous "souhaitez". Vous fantasmez sur quelque chose que, je crois, vous regretteriez vivement d'avoir si vous le possédiez.
Je doute que vous seriez heureux de connaître les abîmes de noirceur et de malveillance que peut receler le mental humain. Parce que chacun a des ténèbres en soi, pires je pense que tout ce que les scénaristes de romans ou de films peuvent imaginer.
Je pense à une parabole connue que je résume ici :
Un jour, un guerrier se rend auprès d'un moine et lui demande :
- Qu'est ce que l'Enfer et qu'est ce que le Paradis ?
Le moine le regard avec mépris, et dit d'un ton moqueur :
- Toi ? Un guerrier ? Sale ? Débraillé ? Laid ? Sentant mauvais ? Tu me demandes ce que sont l'Enfer et le Paradis ?
Le guerrier et alors en proie à une profonde colère, son corps se tend, ses veines s gonflent sur son cou, son visage devient tout rouge et grimaçant, il sort son épée, la lève et s'apprête à frapper le moine avec toute la force de sa haine.
Le moine dit alors :
- Ceci est l'Enfer.
Le guerrier suspend alors son geste. Il comprend. Il lache son arme et fond en larmes éperdu d'amour et de reconnaissance pour ce moine qui est allé jusqu’à risquer sa vie pour lui répondre.
Et le moine de dire :
- Ceci est le Paradis
Le mental humain contient l'Enfer et le Paradis. Vous avez les vôtres et moi les miens. Je doute que vous ayez envie de goûter à l'enfer des autres.
Invité- Invité
Re: origines des malheurs du monde
Moi ce qui me chiffonne dans ce sujet c'est le mélange des genres... ou en tout cas, il est question à mon sens de choses distinctes.
Le fait d'admettre en implicite, en postulat, le fait même que nous existons et que nous sommes réels est une base incontournable. Certes dans l'absolu le postulat peut être écarté, mais alors tout se vaut, rien n'a de sens, on a plus qu'à fermer le rideau. Donc ce postulat sert de base, sans qu'il soit pour autant question de croyance ou de peur, il sert de base car il permet de fonctionner dans notre référentiel. Donc soit on fonctionne, soit on ne fonctionne pas. Si on veut fonctionner on part de ce postulat. Bref du coup, c'est à mon sens sans objet de remettre en cause le postulat.
Ensuite, la solitude ontologique est également un fait. Après le postulat que le monde est réel, la solitude ontologique du sujet est ce qui définit l'"être"... La solitude ontologique est ce qui fait l'"être"...
Mais ce concept de solitude ontologique qui est une définition, une conceptualisation de la notion d'"être", n'induit pas pour autant un absolu.
La vie comporte une grande ambivalence... L'individu n'étant pas possible sans d'autres individus. Aucun être vivant n'est seul, la nature est symbiotique. Un être vivant isolé ne peut se concevoir. La notion d'individu peut être également parfois floue en botanique par exemple...
Si on se focalise plus sur l'être humain, sa sociabilité est ce qui l'a amené là où il est. Un être humain ne peut se concevoir seul... Un être humain a besoin d'autres humains pour se construire, pour vivre, pour tout.
L'empathie à l'aide des neurones miroir est un outil social... C'est une potentialité forte et l'éducation, la culture se charge ensuite de définir comment est utilisé cette potentialité.
Mon job est basé sur l'empathie... si je n'arrive pas à ressentir, comprendre et analyser ce que pense la personne en face de moi, incapable de verbaliser, je suis démunie. Je pense effectivement que cela se travaille....
Mais ce n'est qu'un outil, pas la finalité, car l'empathie peut servir aussi à savoir ce qui fera le plus mal à l'autre pour torturer efficacement...
Bref, l'interconnexion du vivant, l'empathie, la sociabilité ne change rien à la solitude ontologique primaire. Mais la solitude ontologique n'est pas une prison... C'est un fait. Ce fait n’empêche pas les "je" d'être également un "nous" car la symbiose est autant incontournable que la solitude ontologique.
Cela me conduit à penser que mettre en avant la solitude ontologique comme une prison infranchissable où l'individu est seul n'est pas une description complète de la réalité et cela biaise à mon sens les réflexions.
Le fait d'admettre en implicite, en postulat, le fait même que nous existons et que nous sommes réels est une base incontournable. Certes dans l'absolu le postulat peut être écarté, mais alors tout se vaut, rien n'a de sens, on a plus qu'à fermer le rideau. Donc ce postulat sert de base, sans qu'il soit pour autant question de croyance ou de peur, il sert de base car il permet de fonctionner dans notre référentiel. Donc soit on fonctionne, soit on ne fonctionne pas. Si on veut fonctionner on part de ce postulat. Bref du coup, c'est à mon sens sans objet de remettre en cause le postulat.
Ensuite, la solitude ontologique est également un fait. Après le postulat que le monde est réel, la solitude ontologique du sujet est ce qui définit l'"être"... La solitude ontologique est ce qui fait l'"être"...
Henri Bergson : esprit et langage
Le vivant est un centre de communication et un centre d'action. Ils se présente comme "un acteur égocentrique" dont "l'activité est entièrement une activité de soi pour soi." L'idée de référence à soi vient juste de se faire jour dans la recherche biologique. C'ets vers cette idée, toutefois, que vont se concentrer de plus en plus les recherches d'un nombres importants de spécialistes ( Löfgren, Gunter, Von foerster, varela, ect..) (Morin, 1980,2,157). Et cela car il est de plus en plus évident que "tout être vivant, de la bactérie à l'homo sapiens" qu'il soit éphémère, particulier, marginal, " se prend comme centre de référence et préférence; il se dispose de la façon la plus naturelle au centre de son univers, et il s'y auto-transcende, c'est à dire qu'il s'élève au dessus du niveau des autres êtres vivants. Il s'affirme, ainsi, dans un site particulier et unique, dans lequel il devient le centre de son univers et d'où il exclut tout autre congénère, y compris son jumeau homozygote. C'est l'occupation exclusive de ce site égocentrique qui fonde et définit le terme de sujet. (Morin,1980,2,164)
Nous sommes désormais autorisés à supposer "une réflexion de soi archaïque" de la cellule: "Cette réflexion de soi archaïque ne comporte ni représentations, ni images, ni idées. Elle est antérieure à toute réfexions de soi cérébrale qui s'effectue au moyen de représentations (...) Elle est, enfin, inséparable de la praxis auto-organisatrice de l'être. (Morin, 1980,2,189).
"Ce qui produit "l'unité fondamentale du physique, du biologique, du cognitif, c'est le calcul. C'est celui qui produit le je suis C'est à dire l'unité de l'être-individu qui autrement ne serait qu'"un amas de molécule, un fourmillement de réactions physico-chimique, un combinat d'organite et sous-systèmes hétérogènes" (Morin,1980,2,191)
Mais ce concept de solitude ontologique qui est une définition, une conceptualisation de la notion d'"être", n'induit pas pour autant un absolu.
La vie comporte une grande ambivalence... L'individu n'étant pas possible sans d'autres individus. Aucun être vivant n'est seul, la nature est symbiotique. Un être vivant isolé ne peut se concevoir. La notion d'individu peut être également parfois floue en botanique par exemple...
Si on se focalise plus sur l'être humain, sa sociabilité est ce qui l'a amené là où il est. Un être humain ne peut se concevoir seul... Un être humain a besoin d'autres humains pour se construire, pour vivre, pour tout.
L'empathie à l'aide des neurones miroir est un outil social... C'est une potentialité forte et l'éducation, la culture se charge ensuite de définir comment est utilisé cette potentialité.
Mon job est basé sur l'empathie... si je n'arrive pas à ressentir, comprendre et analyser ce que pense la personne en face de moi, incapable de verbaliser, je suis démunie. Je pense effectivement que cela se travaille....
Mais ce n'est qu'un outil, pas la finalité, car l'empathie peut servir aussi à savoir ce qui fera le plus mal à l'autre pour torturer efficacement...
Bref, l'interconnexion du vivant, l'empathie, la sociabilité ne change rien à la solitude ontologique primaire. Mais la solitude ontologique n'est pas une prison... C'est un fait. Ce fait n’empêche pas les "je" d'être également un "nous" car la symbiose est autant incontournable que la solitude ontologique.
Cela me conduit à penser que mettre en avant la solitude ontologique comme une prison infranchissable où l'individu est seul n'est pas une description complète de la réalité et cela biaise à mon sens les réflexions.
Emmanuelle78- Messages : 121
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Date d'inscription : 20/09/2016
Re: origines des malheurs du monde
Comme je n'ai pas autorisation de créer un sujet, j'ai choisi celui ci pour illustrer la citation de
Les faux prophètes = sont des docteurs en théologie exégète qui annoncent des faussetés, car ne ne sont pas par exemple des gens qui prophétisent dans le sens où ils vont révéler l'avenir
ils viennent à vous en vêtements de brebis = ils ont un langage savoureux, plaisant, mielleux, plein de bonne intention dans la voix, ils ne nous veulent que du bien
mais au dedans ce sont des loups ravisseurs = mais au fond ils sont diaboliques
vous les reconnaitrez à leurs fruits = lorsqu'ils professent, ceux qu'ils éduquent doivent donc être exemplaires puisque les éducateurs ce sont ces docteurs là.
Si les fruits sont mauvais c à d si les hommes qui les écoutent sont mauvais, et bien les éducateurs sont des loups ravisseurs.
Que nous montre le monde ?
Le monde nous montre un visage sinistre, et bien on peut dire que nous sommes mal élevés, mal éduqués.
dieuestamour a écrit:Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtements de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs.
Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons?
Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits.
Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits.
Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu.
C’est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.
Matthieu 7. 15-20
Les faux prophètes = sont des docteurs en théologie exégète qui annoncent des faussetés, car ne ne sont pas par exemple des gens qui prophétisent dans le sens où ils vont révéler l'avenir
ils viennent à vous en vêtements de brebis = ils ont un langage savoureux, plaisant, mielleux, plein de bonne intention dans la voix, ils ne nous veulent que du bien
mais au dedans ce sont des loups ravisseurs = mais au fond ils sont diaboliques
vous les reconnaitrez à leurs fruits = lorsqu'ils professent, ceux qu'ils éduquent doivent donc être exemplaires puisque les éducateurs ce sont ces docteurs là.
Si les fruits sont mauvais c à d si les hommes qui les écoutent sont mauvais, et bien les éducateurs sont des loups ravisseurs.
Que nous montre le monde ?
Le monde nous montre un visage sinistre, et bien on peut dire que nous sommes mal élevés, mal éduqués.
prisca*- Membre banni
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Date d'inscription : 12/08/2017
Re: origines des malheurs du monde
Bonjour Prisca, ce que tu dis illustre la réponse de Jésus à ses disciples quand ils lui ont demandé comment les gens vont savoir qu'ils sont chrétiens : par l'amour que vous montrerez les uns pour les autres. C'est cela avoir un comportement exemplaire.
dieuestamour- Messages : 8
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Date d'inscription : 24/05/2019
Re: origines des malheurs du monde
Bonjour Dieuestamour,
Oui tu as raison.
Et c'est de l'amour que de se rendre serviteur pour se dire dans son for intérieur que grâce à ce que l'on sait parce qu'on l'a étudié et qui contribue à rendre l'autre satisfait car il sent en lui comme l'éclosion d'une science théologique qui parle à son coeur nourri car tout ce qui était dans l'ombre d'un manque d'informations le rendait incertain dans sa foi, dans le doute même de sa foi, et le dialogue qui aboutit à la convergence ou osmose fraternelle c'est l'aboutissement d'une communion entre les êtres qui, tour à tour, se nourrissent de chacun, car tout le monde porte à l'édifice sa pierre pour construire la flèche de l'église qui monte jusqu'au Ciel.
Oui tu as raison.
Et c'est de l'amour que de se rendre serviteur pour se dire dans son for intérieur que grâce à ce que l'on sait parce qu'on l'a étudié et qui contribue à rendre l'autre satisfait car il sent en lui comme l'éclosion d'une science théologique qui parle à son coeur nourri car tout ce qui était dans l'ombre d'un manque d'informations le rendait incertain dans sa foi, dans le doute même de sa foi, et le dialogue qui aboutit à la convergence ou osmose fraternelle c'est l'aboutissement d'une communion entre les êtres qui, tour à tour, se nourrissent de chacun, car tout le monde porte à l'édifice sa pierre pour construire la flèche de l'église qui monte jusqu'au Ciel.
prisca*- Membre banni
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Date d'inscription : 12/08/2017
Re: origines des malheurs du monde
dieuestamour a écrit:Bonjour Prisca, ce que tu dis illustre la réponse de Jésus à ses disciples quand ils lui ont demandé comment les gens vont savoir qu'ils sont chrétiens : par l'amour que vous montrerez les uns pour les autres. C'est cela avoir un comportement exemplaire.
Tout à fait d'accord. Jésus de Nazareth a donné comme ultime et prépondérant commandement a ceux qui veulent suivre sa voie de s'aimer les uns les autres comme il a aimé les siens, à savoir jusqu'a accepter le sacrifice ultime : sa propre existence. C'est à cela qu'on reconnaîtra des disciples de Jésus de Nazareth. C'est la boussole morale simple et sans concession qui doit permettre à un chrétien de savoir si il est en accord avec Jésus ou pas. Et Jésus à donné sa vie pour les 12 et tous ceux qui croyaient en lui. Même les lâches, le traître, celui qui l'a renié.
L'amour ici tel que le définie Jésus c'est la capacité d'accepter l'autre aussi imparfait soit-il et de donner sa vie pour lui si nécessaire même si cet autre vous trahi, vous renie, vous abandonne. Bref, un don de soi total, ultime et inconditionnel. C'est ainsi que Jésus définit l'amour en se donnant comme exemple, comme référence, et c'est ainsi que des chrétiens qui se veulent respectueux de ses paroles doivent se comporter les uns envers les autres aux yeux de tous ceux qui ne sont pas les disciples de Jésus.
C'est à cela que des non-chrétiens doivent pouvoir distinguer des chrétiens de gens "ordinaires".
C'est sans ambiguïté, simple, direct, tient en peu de mots et sans modération. C'est bien évidemment une voie excessivement difficile a suivre tant les tendance humaines lourdes de base tendent vers le désir de vengeance vers ceux qui nous blessent et l'attachement à notre propre existence plus que tout.
Jésus a demander qu'on agisse et non qu'on spécule sans fin sur la nature de son Père. Il a avancé une conduite éthique, morale, pour les hommes entre eux. Non un discours théologique. D'ailleurs il a si peu fait de théologie que les siècles suivants d'autres se sont charger de remplir le vide, christologie et théologie, compliquée, avec des formules ardues et des querelles à n'en plus finir sur des mots, allant jusqu'a des affrontement aux mains. En cela ils sont précisément allé directement à l'encontre de la parole même de Jésus. C'est net et sans bavure.
C'est à cela que des non-chrétiens doivent pouvoir distinguer des chrétiens de gens "ordinaires".
C'est sans ambiguïté, simple, direct, tient en peu de mots et sans modération. C'est bien évidemment une voie excessivement difficile a suivre tant les tendance humaines lourdes de base tendent vers le désir de vengeance vers ceux qui nous blessent et l'attachement à notre propre existence plus que tout.
Jésus a demander qu'on agisse et non qu'on spécule sans fin sur la nature de son Père. Il a avancé une conduite éthique, morale, pour les hommes entre eux. Non un discours théologique. D'ailleurs il a si peu fait de théologie que les siècles suivants d'autres se sont charger de remplir le vide, christologie et théologie, compliquée, avec des formules ardues et des querelles à n'en plus finir sur des mots, allant jusqu'a des affrontement aux mains. En cela ils sont précisément allé directement à l'encontre de la parole même de Jésus. C'est net et sans bavure.
En son temps le Sage Gautama aurait (peut être) tenu les propos suivants :
A une femme qui lui disait: Je veux le Bonheur.
Il aurait répondu : Retire "Je", c'est le "Moi". Puis retire "veux", c'est le "Désir/l'avidité". Regarde, maintenant il ne reste plus que le Bonheur.
La doctrine du Sage Gautama ne conçoit pas que le véritable Bonheur puisse se trouver individuellement, égoïstement. Il ne peut se trouver qu'en rapport avec le bonheur d'autrui. Notre propre bonheur et celui des autres sont interdépendants.
Jésus par son sacrifice à laissé tomber ses propres désirs puisqu'il a agît pour les autres et non pour lui-même, il a souvent dit qu'il ne guérissait pas par lui-même, mais grâce à son Père ou à la foi des autres en lui, il a renoncé à sa sécurité, sa famille, ses biens, son bien-être, son intégrité physique et sa dignité en se soumettant aux Jardins de Gethsémani, au destin qui l'attendait, il a renoncé à sa vie pendant sa Passion, son Calvaire. Lors de la Cène il a clairement annoncé le don de sa personne pour les 12, il leur a annoncé ce qui allait se produire. Il a parlé par métaphore : son corps et son sang, avant de passer aux actes les jours suivants.
Et le Nouveau Testament affirme qu'après 3 jours inhumé il est ressorti transformé, rayonnant, apaisé, et je n'ai pas lu le moindre propos de haine ou de rancœur à l'égard des 11 (puis 12) ou de ses bourreaux, juifs comme romains. (Mais je peux me tromper).
A une femme qui lui disait: Je veux le Bonheur.
Il aurait répondu : Retire "Je", c'est le "Moi". Puis retire "veux", c'est le "Désir/l'avidité". Regarde, maintenant il ne reste plus que le Bonheur.
La doctrine du Sage Gautama ne conçoit pas que le véritable Bonheur puisse se trouver individuellement, égoïstement. Il ne peut se trouver qu'en rapport avec le bonheur d'autrui. Notre propre bonheur et celui des autres sont interdépendants.
Jésus par son sacrifice à laissé tomber ses propres désirs puisqu'il a agît pour les autres et non pour lui-même, il a souvent dit qu'il ne guérissait pas par lui-même, mais grâce à son Père ou à la foi des autres en lui, il a renoncé à sa sécurité, sa famille, ses biens, son bien-être, son intégrité physique et sa dignité en se soumettant aux Jardins de Gethsémani, au destin qui l'attendait, il a renoncé à sa vie pendant sa Passion, son Calvaire. Lors de la Cène il a clairement annoncé le don de sa personne pour les 12, il leur a annoncé ce qui allait se produire. Il a parlé par métaphore : son corps et son sang, avant de passer aux actes les jours suivants.
Et le Nouveau Testament affirme qu'après 3 jours inhumé il est ressorti transformé, rayonnant, apaisé, et je n'ai pas lu le moindre propos de haine ou de rancœur à l'égard des 11 (puis 12) ou de ses bourreaux, juifs comme romains. (Mais je peux me tromper).
Il n'y a rien de mystérieux là dedans. C'est simple. Clair. Mais évidemment épouvantablement difficile a accepter. Et a pratiquer.
En résumé, un chrétien véritable est celui qui est capable de renoncer :
- a son foyer.
- à sa famille.
- a ses biens.
- a son intégrité physique et en dignité.
- a renoncé à sa propre vie.
Et ce même pour des hommes ou des femmes qui l'on trahi, renié, abandonné.
- a son foyer.
- à sa famille.
- a ses biens.
- a son intégrité physique et en dignité.
- a renoncé à sa propre vie.
Et ce même pour des hommes ou des femmes qui l'on trahi, renié, abandonné.
Celui qui est capable de renoncer à tout cela si l'occasion se présente perd quelque chose de peu de valeur mais y gagne quelque chose d'une valeur inestimable.
Celui qui renonce à "soi", fait son Salut. Justement, aussi paradoxal que cela puisse paraître.
Invité- Invité
Re: origines des malheurs du monde
Renoncer à ses biens, alors que la Bourse est en train de remonter ?!! Et avec quoi je vais alors alimenter le Secours populaire, le Secours Catholique, SOS-Amitié, les Scouts Israélites, Chiens-guides pour Aveugles, Restos du coeur, Abbé Pierre, Emmaus, Petits frères des pauvres, 30 Millions d'Amis, la SPA, Villages d'Enfants, Orphelins-apprentis d'Auteuil, Handicap International ? je dois en oublier, ils se repassent tous les fichiers de donneurs...
Jans- Messages : 3566
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Re: origines des malheurs du monde
1 Corinthiens 7
23 "Vous avez été rachetés à un grand prix; ne devenez pas esclaves des hommes. 24 Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l'état où il était lorsqu'il a été appelé."
Le Secours populaire comme le Secours catholique comblent le manque que des hommes ont creusé par la cupidité. Si l'on a 4 sous, on dispose de 3 sous et on donne 1 sou en aide aux défavorisés mais dire qu'il faille spéculer en bourse pour subvenir aux gens démunis, c'est cautionner un système basé sur le chantage qui nous pousse à investir l'argent qu'on gagne pour qu'eux s'enrichissent à nos dépens, c'est accepter tacitement l'esclavage, mais non pas que je ne l'ai pas fait moi même, j'ai de l'argent en bourse moi aussi, mais je ne suis pas là à surveiller, Dieu merci ce que je gagne me suffit pour mon quotidien, et à vrai dire je ne sais même plus combien j'ai de côté, car quand on a assez pour s'offrir ce qui nous plait, enfin moi je suis comme cela, je ne vais pas regarder combien je totalise en argent.
C'est bizarre je sais, mais c'est comme ça, peut être poussée par mon époux qui lui aimait bien jouer à l'écureuil.
Mais cela ne nous empêche pas de donner chaque mois, pour les enfants qui manquent de soins médicaux par exemple, et pour les restos du coeur aussi, même ne serait que 15 euros par mois pour chacun, c'est déjà un petit ruisseau.
Nous avons été appelés car Dieu a vu notre dénuement volontaire, même s'il y a de l'argent, c'est du dénuement aussi, car c'est le train de vie qui montre le caractère.
Avoir de l'argent n'est pas ça qui fait de quelqu'un un homme cupide, c'est avoir de l'argent et le garder jalousement sans en faire profiter personne autour de soi, déjà, ne serait ce que la famille, les amis, les gens démunis.
Avoir de l'argent permet du temps libre, et le temps libre donne le temps à la réflexion, réfléchir permet d'ouvrir son coeur qui, s'il n'avait pas cette liberté, battrait bien fort car l’accélération dans nos vies nous l'occupe, après il n'a plus le temps, ni même l'envie de se poser, pour la lecture même, il se posera pour le repos.
Mais le problème est sans l'ombre d'un doute la manipulation dont nous sommes les victimes, comme pour rendre la Loi malédiction, c'est à dire, j'use de la loi pour t'enlever cet impôt mais subrestiscement j'utilise la loi pour infiltrer cet autre impôt, moi chef d'état, et si tout va bien tu n'y verras que du feu, et moi je monterais dans les sondages, et je serais puissant, beau, irrésistible.
Pour l'argent c'est pareil, et toujours je me suis demandé pourquoi les chefs d'état ne résolvaient pas le problème de la faim dans le monde, ou les inégalités, ou les violences, ou les injustices en dénonçant les chefs d'état véreux, l'ONU ça existe, mais est ce que ça sert.
Non ça ne sert à rien car au lieu de déserter un pays tout entier, comme on le voit partout, les exodes, les mexicains qui fuient par exemple, pas de travail aucune organisation, l'ONU fait quoi ? Elle dort ?
Si des hommes ne sont pas capables, on les destitue, et on les remplace, de force, le putsch.
La meilleure des solidarités c'est de prendre le problème à sa base, et non pas de faire des pansements à des blessures qui n'existeraient pas si nous n'étions pas esclaves de ces gens là, les chefs d'état véreux, et tous le sont, à part des exceptions.
C'est vous qui votez, enfin nous je veux dire, et bien ne votez pas si on nous impose des gens qui au fond seront chefs d'état par défaut car nous n'avons pas eu le choix nous de faire notre choix parmi les hommes.
Un Fidel Castro, ça ce fut un homme, car la rigueur c'est bien pour tenir la bride serrée, pour ne pas que le peuple s'enfle d'argent après il devient corrompu, le nécessaire fait le bonheur, le superflu pourrit.
23 "Vous avez été rachetés à un grand prix; ne devenez pas esclaves des hommes. 24 Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l'état où il était lorsqu'il a été appelé."
Le Secours populaire comme le Secours catholique comblent le manque que des hommes ont creusé par la cupidité. Si l'on a 4 sous, on dispose de 3 sous et on donne 1 sou en aide aux défavorisés mais dire qu'il faille spéculer en bourse pour subvenir aux gens démunis, c'est cautionner un système basé sur le chantage qui nous pousse à investir l'argent qu'on gagne pour qu'eux s'enrichissent à nos dépens, c'est accepter tacitement l'esclavage, mais non pas que je ne l'ai pas fait moi même, j'ai de l'argent en bourse moi aussi, mais je ne suis pas là à surveiller, Dieu merci ce que je gagne me suffit pour mon quotidien, et à vrai dire je ne sais même plus combien j'ai de côté, car quand on a assez pour s'offrir ce qui nous plait, enfin moi je suis comme cela, je ne vais pas regarder combien je totalise en argent.
C'est bizarre je sais, mais c'est comme ça, peut être poussée par mon époux qui lui aimait bien jouer à l'écureuil.
Mais cela ne nous empêche pas de donner chaque mois, pour les enfants qui manquent de soins médicaux par exemple, et pour les restos du coeur aussi, même ne serait que 15 euros par mois pour chacun, c'est déjà un petit ruisseau.
Nous avons été appelés car Dieu a vu notre dénuement volontaire, même s'il y a de l'argent, c'est du dénuement aussi, car c'est le train de vie qui montre le caractère.
Avoir de l'argent n'est pas ça qui fait de quelqu'un un homme cupide, c'est avoir de l'argent et le garder jalousement sans en faire profiter personne autour de soi, déjà, ne serait ce que la famille, les amis, les gens démunis.
Avoir de l'argent permet du temps libre, et le temps libre donne le temps à la réflexion, réfléchir permet d'ouvrir son coeur qui, s'il n'avait pas cette liberté, battrait bien fort car l’accélération dans nos vies nous l'occupe, après il n'a plus le temps, ni même l'envie de se poser, pour la lecture même, il se posera pour le repos.
Mais le problème est sans l'ombre d'un doute la manipulation dont nous sommes les victimes, comme pour rendre la Loi malédiction, c'est à dire, j'use de la loi pour t'enlever cet impôt mais subrestiscement j'utilise la loi pour infiltrer cet autre impôt, moi chef d'état, et si tout va bien tu n'y verras que du feu, et moi je monterais dans les sondages, et je serais puissant, beau, irrésistible.
Pour l'argent c'est pareil, et toujours je me suis demandé pourquoi les chefs d'état ne résolvaient pas le problème de la faim dans le monde, ou les inégalités, ou les violences, ou les injustices en dénonçant les chefs d'état véreux, l'ONU ça existe, mais est ce que ça sert.
Non ça ne sert à rien car au lieu de déserter un pays tout entier, comme on le voit partout, les exodes, les mexicains qui fuient par exemple, pas de travail aucune organisation, l'ONU fait quoi ? Elle dort ?
Si des hommes ne sont pas capables, on les destitue, et on les remplace, de force, le putsch.
La meilleure des solidarités c'est de prendre le problème à sa base, et non pas de faire des pansements à des blessures qui n'existeraient pas si nous n'étions pas esclaves de ces gens là, les chefs d'état véreux, et tous le sont, à part des exceptions.
C'est vous qui votez, enfin nous je veux dire, et bien ne votez pas si on nous impose des gens qui au fond seront chefs d'état par défaut car nous n'avons pas eu le choix nous de faire notre choix parmi les hommes.
Un Fidel Castro, ça ce fut un homme, car la rigueur c'est bien pour tenir la bride serrée, pour ne pas que le peuple s'enfle d'argent après il devient corrompu, le nécessaire fait le bonheur, le superflu pourrit.
prisca*- Membre banni
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Re: origines des malheurs du monde
Comme dit plus haut il me semble, pour le Sage Gautama, toutes les souffrances humaines ont pour origines, causes, les 3 poisons.
Exemple dans l'actualité :
Définition wikipédia a écrit:Les Trois poisons (sanskrit : triviṣa), ou trois souillures (kleshas) sont dans le bouddhisme les racines karmiquement mauvaises (pāli : akusala-mūla) qui conduisent à dukkha :
Moha ou avidyā : l'égarement ou ignorance ;
Rāga (pāli : taṇhā, lobha) : la soif, avidité, convoitise ;
Dveṣa (pāli : dosa) : l'aversion, haine ou colère.
Ces trois poisons sont associés à trois animaux :
le porc symbolise l'ignorance ;
le coq, l'attachement ;
le serpent, l'aversion.
Selon le 14e dalaï-lama, d'après les représentations iconographiques, on constate que le serpent et le coq sortent de la gueule du porc, cela semblerait indiquer que l'ignorance est la racine des deux autres poisons.
Exemple dans l'actualité :
Site du Monastère Zen Kanshoji a écrit:Quand les trois poisons sont au coeur du monde religieux et politique : Persécution des Rohingya en Birmanie
Aujourd’hui, des musulmans, les Rohingya, sont persécutés en Birmanie par des bouddhistes. A la tête de ce mouvement, on trouve Ashin Wirathu. Ashin Wirathu, qui n’a de moine bouddhiste que le titre mais pas le fonctionnement, est un homme politique, un homme de pouvoir haranguant les foules, parlant à ce qu’elles ont de plus vil, les fédérant autour de lui, dans la haine des autres.
Il y a souvent eu dans l’histoire des collusions entre le religieux et le politique et cela a toujours été néfaste. En effet historiquement, les Rohingya vivaient plutôt sur des territoires à majorité musulmane — ils venaient du Bangladesh. Si on s’arrête à ce fait historique, si on y ajoute le nationalisme de la junte birmane — Birmanie qui, elle, est majoritairement bouddhiste — on peut en venir à opposer un nationalisme bouddhique à des envahisseurs musulmans. On est dans ce cas-là bien loin de la vision bouddhiste où tous les êtres humains sont de même nature et les rapports entre eux gérés par un cœur pur et compatissant, pur de toute discrimination, de tout racisme.
S’appuyer sur la différence de statut religieux et national, comme le fait le moine Ashin Wirathu qui désigne des membres d’une autre religion comme bouc émissaire, cause de tout ce qui ne va pas dans le pays, est une perversion grave du religieux. On pourrait même parler d’une guerre sainte bouddhiste, d’un radicalisme bouddhiste qui vise, par la violence, à imposer son hégémonie.
Ashin Wirathu est prisonnier d’une approche mentale, dualiste et guerrière. Sa vision de la réalité est déformée par la haine et l’ignorance, il ne voit pas les choses avec son œil de Bouddha, avec un esprit lavé de toute aversion, de tout intérêt.
On aurait envie de dire que ces actes de persécution et ceux qui les commettent ne sont pas bouddhistes puisqu’un bouddhiste ne devrait pas céder aux illusions qui sont dans ce cas des constructions mentales nationalistes, identitaires.
Pour un pratiquant de la voie du Bouddha, toutes les formes de vie doivent être protégées, tous les êtres humains sont ses frères et sœurs. Pour un religieux authentique, l’ennemi n’est pas à chercher à l’extérieur mais à l’intérieur de nous-mêmes. La pratique de zazen nous permet de voir les trois poisons qui nous animent, à savoir l’ignorance, l’avidité et l’aversion, et de ne pas leur donner suite. Nous retournons ainsi à notre nature originelle, nature de Bouddha et nous nous efforçons d’agir dans le monde animé par la sagesse et la compassion des bouddhas.
Nous condamnons totalement les agissements d’Ashin Wirathu et nous envoyons toutes nos prières aux musulmans Rohingya de Birmanie.
Invité- Invité
Re: origines des malheurs du monde
Si on s'en tient à la lettre "origine des malheurs du monde" il n'y a aucun malheur dans le monde car le monde est un lieu communément appelé "Purgatoire" et à ce titre, il ne faut pas nous étonner si arrivent des gens avec un caractère complètement à l'opposé du notre, si nous estimons nous que nous serions incapables de faire le moindre geste qui fasse mal, alors que pour d'autres c'est leur quotidien.
Nous sommes de toutes sortes, car la purification des âmes se fait à cheval c à d que ce n'est pas que tous nous avons été "calibrés" pour être mis sur terre, et puis chacun évolue dans le milieu où il est avec les chances et les malchances mais avec au départ aucune égalité de chance au point de vue de la teneur d'élévation de l'âme puisque des âmes sont plus anciennes, plus mures, et d'autres plus jeunes, immatures.
Vous cotoyez dans vos vies sans le savoir, l'apôtre Paul, vous l'avez peut être même croisé, ou pas, car le monde est grand, mais il peut être ici ou là, car la Bible dit que Paul est vivant, donc vivant veut dire "en vie" oui mais là dans le contexte, cela veut dire "saint" mais nous savons qu'il est en vie parce que la Bible dit qu'il est emmené dans le Ciel à la Parousie, dans notre futur donc, par conséquent Paul est un saint en vie.
Mais il faut que des saints soient mélangés aux autres, ils jouent sur la balance, les bonnes paroles ce sont eux, comme Balavoine par exemple a peut être été un saint, qui sait, enfin tout du moins du point de vue de son esprit, celui d'un chrétien converti du paganisme puisque Balavoine n'est pas Juif.
Nous ne savons pas qui nous sommes nous réellement, car l'esprit a une identité, les noms que nous avons, ce sont des noms d'emprunt, juste pour une vie, toutes les vies, mais l'esprit lui est unique et a un nom qui lui est propre, un nom propre.
Ne vous étonnez pas s'il y a des gens qui dépassent certains seuils, il faut juste leur pardonner car ils ne sont pas matures tout simplement, car dans l'évolution, ils sont en deça, c'est tout, et on pardonne à des gens qui n'ont pas les capacités de pouvoir montrer de quoi ils sont capables dès lors ils ont franchi un seuil dans l'évolution.
L'homme surgit primaire et subit une évolution qui le font se rendre mature
Mais lorsque moderne apparait
Ce n'est pas la fin de son évolution comme vous le voyez là dessus, il doit encore changer l'homme et être l'homme spirituel.
Cela fait partie de son évolution
On ne peut pas reprocher à un homme son immaturité, car s'il est immature, il est immature, et il grandira à force d'éducation, comme les enfants, avec le temps.
Nous sommes de toutes sortes, car la purification des âmes se fait à cheval c à d que ce n'est pas que tous nous avons été "calibrés" pour être mis sur terre, et puis chacun évolue dans le milieu où il est avec les chances et les malchances mais avec au départ aucune égalité de chance au point de vue de la teneur d'élévation de l'âme puisque des âmes sont plus anciennes, plus mures, et d'autres plus jeunes, immatures.
Vous cotoyez dans vos vies sans le savoir, l'apôtre Paul, vous l'avez peut être même croisé, ou pas, car le monde est grand, mais il peut être ici ou là, car la Bible dit que Paul est vivant, donc vivant veut dire "en vie" oui mais là dans le contexte, cela veut dire "saint" mais nous savons qu'il est en vie parce que la Bible dit qu'il est emmené dans le Ciel à la Parousie, dans notre futur donc, par conséquent Paul est un saint en vie.
Mais il faut que des saints soient mélangés aux autres, ils jouent sur la balance, les bonnes paroles ce sont eux, comme Balavoine par exemple a peut être été un saint, qui sait, enfin tout du moins du point de vue de son esprit, celui d'un chrétien converti du paganisme puisque Balavoine n'est pas Juif.
Nous ne savons pas qui nous sommes nous réellement, car l'esprit a une identité, les noms que nous avons, ce sont des noms d'emprunt, juste pour une vie, toutes les vies, mais l'esprit lui est unique et a un nom qui lui est propre, un nom propre.
Ne vous étonnez pas s'il y a des gens qui dépassent certains seuils, il faut juste leur pardonner car ils ne sont pas matures tout simplement, car dans l'évolution, ils sont en deça, c'est tout, et on pardonne à des gens qui n'ont pas les capacités de pouvoir montrer de quoi ils sont capables dès lors ils ont franchi un seuil dans l'évolution.
L'homme surgit primaire et subit une évolution qui le font se rendre mature
Mais lorsque moderne apparait
Ce n'est pas la fin de son évolution comme vous le voyez là dessus, il doit encore changer l'homme et être l'homme spirituel.
Cela fait partie de son évolution
On ne peut pas reprocher à un homme son immaturité, car s'il est immature, il est immature, et il grandira à force d'éducation, comme les enfants, avec le temps.
prisca*- Membre banni
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Re: origines des malheurs du monde
Jans a écrit:Renoncer à ses biens, alors que la Bourse est en train de remonter ?!! Et avec quoi je vais alors alimenter le Secours populaire, le Secours Catholique, SOS-Amitié, les Scouts Israélites, Chiens-guides pour Aveugles, Restos du coeur, Abbé Pierre, Emmaus, Petits frères des pauvres, 30 Millions d'Amis, la SPA, Villages d'Enfants, Orphelins-apprentis d'Auteuil, Handicap International ? je dois en oublier, ils se repassent tous les fichiers de donneurs...
Je te jure !
Entre ceux qui ont les pieds sur terre et ceux qui ont la tete dans les nuages, on a de quoi rire devant tant de pauvreté d'esprit et de compréhension des textes.
Comme le dit si bien l'expression chrétienne : " Aide toi et le Ciel t'aidera " !
Suleyman- Messages : 1441
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Re: origines des malheurs du monde
Origines des malheurs du monde implique que déjà il faut lister ces malheurs afin que chacun ait en tête ce que représente, un malheur ou des malheurs.
Est ce que le tsunami est un malheur ?
Est ce que l'éruption d'un volcan est un malheur ?
Est ce qu'un tremblement de terre est un malheur ?
Ou est ce que ce sont des phénomènes naturels qui ne viennent à surprendre personne dès lors ils surgissent depuis la nuit des temps.
Un malheur est un événement soudain imprévisible voire de source inconnu comme le cancer par exemple.
On ne sait pas comment un cancer du poumon surgit chez un sujet qui n'a jamais fumé.
C'est un malheur car le sujet s'est dit être préservé du cancer du poumon alors qu'il a fait le choix de ne pas fumer et puis il sait qu'il va avoir à connaitre la mort parce qu'il a un cancer.
Est ce qu'il a un sentiment d'injustice ? Surement parce qu'il sait que beaucoup fument et ne connaissent pas le cancer du poumon contrairement à lui.
Est ce que c'est une anomalie que de connaitre un cancer du poumon sans être fumeur ?
Qu'est ce qu'une anomalie ?
Grec nómos la loi > non conforme à la loi -- quelle loi ? La loi de la physique. Qu'est ce que la physique ? C'est la nature comme l'étymologie du mot le dit.
Et certains disent qu'anomalie vient du Grec mais de omalos égal, lisse, en sorte que anomalie c’est étymologiquement an-omalos, ce
qui est inégal, rugueux, irrégulier ;
Avoir un cancer des poumons sans avoir fumé est une anomalie car la survenance de cette maladie non pas qu'elle est anormale mais anomale car il faut distinguer l'anormalité avec l'anomalité
L'anormalité c'est de ne pas rentrer dans la norme et qu'est ce que la norme ? C'est ce qui ne rentre pas dans la norma, dans l'équerre, qui penche à droite ou à gauche, qui a un degré d'inclinaison concave ou convexe, qui n'est pas à angle droit, angle obtu, angle aigu, selon les statistiques et non pas selon le nomos (la loi)
Avoir un cancer du poumon sans avoir fumé est anormal mais n'est pas une anomalie
Les statistiques disent que les gens qui ont un cancer du poumon sans avoir fumé déclarent un faible pourcentage d'individus, donc la norme étant suffisamment échelonnée pour tirer la conclusion que l'on peut assurément se passer de fumer et avoir toutes les chances de ne pas avoir un cancer du poumon
Statistiquement parlant, ne fumez pas, vous n'aurez pas de cancer du poumon, c'est la norma, la norme, la normalité
Mais c'est une anomalie que d'avoir un cancer du poumon sans avoir fumé puisque le sujet n'inhale pas de fumée qui tue donc comment peut il souffrir d'une pathologie alors que la nomalité et non normalité exige des lois lesquelles tiennent sur la physique ?
Parce qu'il y a des lois de la physique qui entrent en jeu et dont les gens ne tiennent pas compte, à savoir que le cancer du poumon est une pathologie qui n'est pas seulement chez le fumeur mais chez tout sujet par la survenance d'une émergence d'anomalie (contraire à la loi) dont la cause est extérieure à la cigarette, comme par exemple, les toxines des hydrocarbures inhalées en milieu urbain.
pathologie : pâthos passion ; ce dont on pâti ; souffrance épreuve le malheur.
La maladie est une souffrance, une épreuve un malheur causé par une anomalité causée par main d'homme car la physique elle crée l'atome dans le strict respect de la cohésion et l'assemblage des atomes entre eux, mais s'il y a des agents interférant, les atomes sont pris de panique et créent, pour sauver le métabolisme, des excroissances qui isoleront le pathos, le mal, afin de le combattre.
La métastase est dûe à l'agglomération d'atomes combatifs qui encerclent le mal, le mal étant dû à une cause extérieure, anomale, contre les lois, comme inhaler des particules en suspension d'hydrocarbure, car la nature ne laisse pas en suspension ces particules, mais l'homme lui oui.
Est ce que le cancer est un bienfait alors qu'on le prend comme un malheur ?
Si le corps ne réagissait pas, la mort serait immédiate puisqu'imaginons qu'aucune auto défense ne se produise dans le corps, le corps est envahi des agents perturbants dans l'heure ou dans la journée, ou le mois, comme le poison d'un serpent, et les hommes meurent à la pelle.
Ce que l'on prend pour un malheur est un bienfait, même si ça peut choquer, car on en guérit du cancer, car le temps que les cellules soient traitées, que le siège du bouleversement métabolique soit amputé, comme c'est le cas du sein, le reste du corps lui est à l'abri puisque l'on sait que des cellules combatives vont enfermer les agents nuisibles donc si rien ne survient ailleurs, c'est que le sujet est sain.
Le malheur la pathologie la souffrance est un phénomène qui surgit dès lors nous concentrons tout notre esprit, nous mettons toute notre passion à concentrer tout notre être vers lui, ce mal, comme pour le laisser parler pour mieux le comprendre, pour lui laisser de la place afin de mieux le combattre, car on combat mieux un ennemi lorsqu'on le connait, donc on laisse le corps au repos afin qu'il se charge d'énergies positives pour combattre le mal, et souvent nous sommes sourds aux autres, ou muets, pour écouter notre mal, car nous comptons sur les cellules défensives pour mener le combat, et il ne faut pas faire diversion, tout l'être doit être tourné vers le combat.
toute souffrance = pathologie ?
Oui
Toutes souffrances sont la concentration du sujet vers la douleur morale ou physique, et le sujet se tait, se mure, est sourd, pour écouter le mal intrinsèque comme les malades dépressifs qui rompent avec l'extérieur pour écouter le mal qui les ronge, le mal d'aimer, le mal de la rupture avec le père, la mère, la rupture avec la société, la souffrance causé par la mort d'une normalité les met dans un état second.
Ils sortent de la normalité et font partie d'une autre normalité : les malades dépressifs
sens normatif = conforme à la règle, ce qui doit être devrait être,
Mais personne ne parle des stoïques ?
Ceux qui font la sourde oreille à leur pathologie, à leurs passions, à ce qui les passionne selon l'étymologie du mot, à ce qui attire toutes leurs attentions ?
Le stoïque ignore la maladie, ne lui accorde aucune oreille, ne l'écoute donc pas, ne se concentre pas sur elle, il vit et la maladie est à côté de lui, pas en lui, dans sa vie bien sûr, pas en réalité.
Marcher à côté de la maladie c'est avoir confiance en son métabolisme qui combat, car écouter sa maladie c'est se dire que son mental est plus fort que l'atome combatif, c'est faux, car ce n'est pas parce que le mental est concentré sur la maladie que le corps combat mieux, c'est anomal, contre les lois de la physique, car rien ne dit dans les lois de la physique que l'esprit agit sur la matière, c'est juste du domaine des sciences alternatives, des croyances.
Il vaut mieux ignorer la maladie et être stoïque avec une aide médicamenteuse bien sûr parce qu'il ne s'agit pas de croire que l'on peut ne pas souffrir avec notre volonté d'ignorer la maladie, mais être suffisamment occupé pour que l'esprit vienne à se passionner ou être "pathologique" à autre chose, de ce fait, on oublie la souffrance car on souffre d'autres passions qui pourront submerger l'esprit où siège les neurones transmetteurs qui révèlent la souffrance parce qu'en fait la souffrance est la combinaison d'agents transmetteurs qui arrivent au cerveau et qui la révèlent.
Donc il vaut mieux occuper son être à des passions au lieu de rester alité, si la mobilité le permet bien sûr.
Ne pas oublier que chacun est un malade latent comme chacun est un vieillard latent car considérer le problème comme une survenance chez les autres est un leurre car tout le monde est un malade en sursis car personne ne peut savoir qui va l'être ou pas, donc nous nous créons de faux problèmes pour écarter la vérité car la médecine a beau soigner, l'homme génère le mal lui même puisqu'il crée des particules nocives dans son environnement.
C'est une hypocrisie organisée donc le malheur c'est nous qui le créons, nous imaginons le soigner par des alternatives, mais nous produisons plus que nous soignons car jamais l'homme veut renoncer à un pseudo confort avec ce qui donne aux puissants la puissance, le pétrole qui tue les gens.
Est ce que le tsunami est un malheur ?
Est ce que l'éruption d'un volcan est un malheur ?
Est ce qu'un tremblement de terre est un malheur ?
Ou est ce que ce sont des phénomènes naturels qui ne viennent à surprendre personne dès lors ils surgissent depuis la nuit des temps.
Un malheur est un événement soudain imprévisible voire de source inconnu comme le cancer par exemple.
On ne sait pas comment un cancer du poumon surgit chez un sujet qui n'a jamais fumé.
C'est un malheur car le sujet s'est dit être préservé du cancer du poumon alors qu'il a fait le choix de ne pas fumer et puis il sait qu'il va avoir à connaitre la mort parce qu'il a un cancer.
Est ce qu'il a un sentiment d'injustice ? Surement parce qu'il sait que beaucoup fument et ne connaissent pas le cancer du poumon contrairement à lui.
Est ce que c'est une anomalie que de connaitre un cancer du poumon sans être fumeur ?
Qu'est ce qu'une anomalie ?
Grec nómos la loi > non conforme à la loi -- quelle loi ? La loi de la physique. Qu'est ce que la physique ? C'est la nature comme l'étymologie du mot le dit.
Et certains disent qu'anomalie vient du Grec mais de omalos égal, lisse, en sorte que anomalie c’est étymologiquement an-omalos, ce
qui est inégal, rugueux, irrégulier ;
Avoir un cancer des poumons sans avoir fumé est une anomalie car la survenance de cette maladie non pas qu'elle est anormale mais anomale car il faut distinguer l'anormalité avec l'anomalité
L'anormalité c'est de ne pas rentrer dans la norme et qu'est ce que la norme ? C'est ce qui ne rentre pas dans la norma, dans l'équerre, qui penche à droite ou à gauche, qui a un degré d'inclinaison concave ou convexe, qui n'est pas à angle droit, angle obtu, angle aigu, selon les statistiques et non pas selon le nomos (la loi)
Avoir un cancer du poumon sans avoir fumé est anormal mais n'est pas une anomalie
Les statistiques disent que les gens qui ont un cancer du poumon sans avoir fumé déclarent un faible pourcentage d'individus, donc la norme étant suffisamment échelonnée pour tirer la conclusion que l'on peut assurément se passer de fumer et avoir toutes les chances de ne pas avoir un cancer du poumon
Statistiquement parlant, ne fumez pas, vous n'aurez pas de cancer du poumon, c'est la norma, la norme, la normalité
Mais c'est une anomalie que d'avoir un cancer du poumon sans avoir fumé puisque le sujet n'inhale pas de fumée qui tue donc comment peut il souffrir d'une pathologie alors que la nomalité et non normalité exige des lois lesquelles tiennent sur la physique ?
Parce qu'il y a des lois de la physique qui entrent en jeu et dont les gens ne tiennent pas compte, à savoir que le cancer du poumon est une pathologie qui n'est pas seulement chez le fumeur mais chez tout sujet par la survenance d'une émergence d'anomalie (contraire à la loi) dont la cause est extérieure à la cigarette, comme par exemple, les toxines des hydrocarbures inhalées en milieu urbain.
pathologie : pâthos passion ; ce dont on pâti ; souffrance épreuve le malheur.
La maladie est une souffrance, une épreuve un malheur causé par une anomalité causée par main d'homme car la physique elle crée l'atome dans le strict respect de la cohésion et l'assemblage des atomes entre eux, mais s'il y a des agents interférant, les atomes sont pris de panique et créent, pour sauver le métabolisme, des excroissances qui isoleront le pathos, le mal, afin de le combattre.
La métastase est dûe à l'agglomération d'atomes combatifs qui encerclent le mal, le mal étant dû à une cause extérieure, anomale, contre les lois, comme inhaler des particules en suspension d'hydrocarbure, car la nature ne laisse pas en suspension ces particules, mais l'homme lui oui.
Est ce que le cancer est un bienfait alors qu'on le prend comme un malheur ?
Si le corps ne réagissait pas, la mort serait immédiate puisqu'imaginons qu'aucune auto défense ne se produise dans le corps, le corps est envahi des agents perturbants dans l'heure ou dans la journée, ou le mois, comme le poison d'un serpent, et les hommes meurent à la pelle.
Ce que l'on prend pour un malheur est un bienfait, même si ça peut choquer, car on en guérit du cancer, car le temps que les cellules soient traitées, que le siège du bouleversement métabolique soit amputé, comme c'est le cas du sein, le reste du corps lui est à l'abri puisque l'on sait que des cellules combatives vont enfermer les agents nuisibles donc si rien ne survient ailleurs, c'est que le sujet est sain.
Le malheur la pathologie la souffrance est un phénomène qui surgit dès lors nous concentrons tout notre esprit, nous mettons toute notre passion à concentrer tout notre être vers lui, ce mal, comme pour le laisser parler pour mieux le comprendre, pour lui laisser de la place afin de mieux le combattre, car on combat mieux un ennemi lorsqu'on le connait, donc on laisse le corps au repos afin qu'il se charge d'énergies positives pour combattre le mal, et souvent nous sommes sourds aux autres, ou muets, pour écouter notre mal, car nous comptons sur les cellules défensives pour mener le combat, et il ne faut pas faire diversion, tout l'être doit être tourné vers le combat.
toute souffrance = pathologie ?
Oui
Toutes souffrances sont la concentration du sujet vers la douleur morale ou physique, et le sujet se tait, se mure, est sourd, pour écouter le mal intrinsèque comme les malades dépressifs qui rompent avec l'extérieur pour écouter le mal qui les ronge, le mal d'aimer, le mal de la rupture avec le père, la mère, la rupture avec la société, la souffrance causé par la mort d'une normalité les met dans un état second.
Ils sortent de la normalité et font partie d'une autre normalité : les malades dépressifs
sens normatif = conforme à la règle, ce qui doit être devrait être,
Mais personne ne parle des stoïques ?
Ceux qui font la sourde oreille à leur pathologie, à leurs passions, à ce qui les passionne selon l'étymologie du mot, à ce qui attire toutes leurs attentions ?
Le stoïque ignore la maladie, ne lui accorde aucune oreille, ne l'écoute donc pas, ne se concentre pas sur elle, il vit et la maladie est à côté de lui, pas en lui, dans sa vie bien sûr, pas en réalité.
Marcher à côté de la maladie c'est avoir confiance en son métabolisme qui combat, car écouter sa maladie c'est se dire que son mental est plus fort que l'atome combatif, c'est faux, car ce n'est pas parce que le mental est concentré sur la maladie que le corps combat mieux, c'est anomal, contre les lois de la physique, car rien ne dit dans les lois de la physique que l'esprit agit sur la matière, c'est juste du domaine des sciences alternatives, des croyances.
Il vaut mieux ignorer la maladie et être stoïque avec une aide médicamenteuse bien sûr parce qu'il ne s'agit pas de croire que l'on peut ne pas souffrir avec notre volonté d'ignorer la maladie, mais être suffisamment occupé pour que l'esprit vienne à se passionner ou être "pathologique" à autre chose, de ce fait, on oublie la souffrance car on souffre d'autres passions qui pourront submerger l'esprit où siège les neurones transmetteurs qui révèlent la souffrance parce qu'en fait la souffrance est la combinaison d'agents transmetteurs qui arrivent au cerveau et qui la révèlent.
Donc il vaut mieux occuper son être à des passions au lieu de rester alité, si la mobilité le permet bien sûr.
Ne pas oublier que chacun est un malade latent comme chacun est un vieillard latent car considérer le problème comme une survenance chez les autres est un leurre car tout le monde est un malade en sursis car personne ne peut savoir qui va l'être ou pas, donc nous nous créons de faux problèmes pour écarter la vérité car la médecine a beau soigner, l'homme génère le mal lui même puisqu'il crée des particules nocives dans son environnement.
C'est une hypocrisie organisée donc le malheur c'est nous qui le créons, nous imaginons le soigner par des alternatives, mais nous produisons plus que nous soignons car jamais l'homme veut renoncer à un pseudo confort avec ce qui donne aux puissants la puissance, le pétrole qui tue les gens.
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