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17 termes grecs importants dans le NT

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Message  Jans Mar 19 Oct - 23:16

17 termes grecs importants dans le Nouveau testament



1) è basileia : désigne à la fois le royaume, le règne, la royauté. La traduction en français est donc laissée à la sensibilité de chacun, avec parfois de réelles difficultés ; ainsi, la phrase de Jésus « è basileia tout theou entos umôn estin » peut se traduire : le Royaume de Dieu est parmi vous » ou bien : « le règne de Dieu / la royauté divine est en vous ».



2) o kurios : le Seigneur. D’abord appliqué uniquement à Dieu dans la Septante pour rendre YHWH – Adonai, se voit peu à peu appliqué à Jésus.



3) O Christos : le Oint, celui qui a reçu l’onction, traduit maschiah, le messie.



4) è amartiah : le fait de rater la cible, l’erreur, l’errement, la déviation. Traduit chez Jérôme par peccatum et péché en français, ce qui est une façon indue de traduire en théologie étroite ce qui est une grande finesse de Jésus.



5) O Iesous o Nazoraios : Jésus le Nazôréen / nazaréen ; ne fait pas référence à Nazareth, malgré la croyance de beaucoup. Le sens exact est perdu ; désigne peut-être un degré de sainteté de Jésus, on trouve dans des récits très semblables, en parallèle à ce nazôraios, « o agios tou theou : le saint de Dieu » (propos d’un esprit impur).  Un livre du Grand Rabbin de Trieste (Eugenio Zolli) écrit en 1939 mais publié en 2009, « il Nazareno » déploie la thèse fort intréessante que nazoraios dériverait de la racine araméenne : nçr : « les déclamateurs, les prédicateurs ». C’est un fait qu’un surnom doit dériver plus facilement de l’araméen que de l’hébreu, qui n’est plus parlé à l’époque de Jésus.

L’expression exacte « Jésus de Nazaret(h) » ne se trouve en tout en pour tout que 2 fois dans le NT en Actes, 10,38, dans la bouche de Pierre : ησοῦν τὸν ἀπὸ Ναζαρέτ.. et chez Jean en 1,45 : , Ἰησοῦν τὸν υἱὸν τοῦ Ἰωσὴφ τὸν ἀπὸ Ναζαρέτ. : Jésus, fils de Joseph, de Nazareth (l’accusatif « ton » permet de dire que c’est Jésus de Nazareth, pas Joseph.). Pas une seule fois dans les synoptiques. Le seul titulus (panneau au-dessus de la croix) mentionnant Nazôraios se trouve chez Jean : « Ἰησοῦς ὁ Ναζωραῖος ὁ βασιλεὺς τῶν Ἰουδαίων » : jésus le Nazaréen, le roi des Juifs ».

6) è parthenos : la vierge ; la vierge sera enceinte (ἡ παρθένος ἐν γαστρὶ), Mt 1,23, citation /prédiction tirée de Isaïe 7,14, mais de la Septante, qui a traduit l’hébreu « almah » par « parthenos : vierge. Erreur de traduction rectifiée plus tard par plusieurs correcteurs juifs de la Septante. Mais pas par les évangélistes ni par St Jérôme qui écrit dans la Vulgate : « ecce virgo in utero habebit ».
Le problème est peut-être plus vaste : le Talmud (qui reconnaît les guérisons) dit que Jésus était le fils illégitime d’une coiffeuse, Myriam, et d’un soldat romain, Panthera ou Pandera. On lit en Jean au chapitre 8 un dialogue musclé entre Jésus et des pharisiens, lesquels demandent à Jésus (8,19) "ton père, où est-il ?" et affirment plus loin (8,41) : "Nous ne sommes pas, nous, nés de la prostitution ! » Qui est le géniteur terrestre de Jésus ? les évangiles de l'enfance, en Mt et Lc disent : C'est directement le saint Esprit ;  mais il n'y a aucune mention de Marie en tant que Vierge et du saint Esprit en tant que géniteur dans le reste des évangiles et des Actes, Paul dit même l'inverse : "Jésus, né selon la chair ». On peut donc se poser la question : Le bruit répandu du fils illégitime (mamzer en hébreu) a-t-il eu comme « contre-feu » la conception par le Saint-Esprit ? Information puis dogme qui ne s’établit pas avant les années 80 du premier siècle et dont Jean semble s’être fait l’écho en 8,41
.


7) o aggelos : l’ange, en fait l’envoyé (le redoublement du g fait que l’on prononce « angelos »).



8) o doulos : l’esclave, le serviteur, les deux sens pas toujours facile à démêler. Dans les paraboles de Jésus, on traduit toujours par serviteur : c’est le politiquement correct, mais évidemment, ces serviteurs sont des esclaves. Paul, au début de l’épître aux Romains se dit Παῦλος δοῦλος Χριστοῦ Ἰησοῦ : esclave / serviteur du Christ Jésus. On trouve les deux traductions en français. Mais en Luc 1,38, quand Marie dit « Ἰδού, ἡ δούλη κυρίου:», on traduit toujours par « servante » : «  je suis la servante du Seigneur ».


9) è diathekè : l’alliance ; correspond au berit hébreu, l’Alliance de YHWH avec le peuple juif
Malencontreusement traduit par le latin testamentum, d’où le peu clair « testament ».



10) o stauros : le pieu (latin : crux) ou le pieu avec traverse, donc croix du condamné. Le condamné ne portait pas la croix entière, mais la barre transversale, appelée patibulum, laquelle était hissée (avec des cordes passant dans une encoche tout en haut) avec le condamné en haut du stauros. Une fois le condamné mort, on défaisait les cordes pour abaisser le patibulum.



11) phainô :apparaître, (se) rendre visible ; Marc, 16,9 : Jésus apparut d’abord à Marie de Magdala : ἐφάνη πρῶτον Μαρίᾳ τῇ Μαγδαληνῇ. On est dans le registre du voir, de l’apparence (mais pas de l’illusion !)



12) anastasis nekrôn (ἀνάστασις νεκρῶν) : le relèvement (d’entre les morts), donc la résurrection ; 1 Cor., 15,13



13) egeirô : faire se lever, ressusciter : 1 Cor. 15,13 : le Christ a été relevé (d’entre les morts) χριστὸς ἐγήγερται. Il n’y a pas de terme « technique » grec pour ce que l’on désigne par le verbe ressusciter, dont l’origine est latine.



14) ôphtè : il a été vu = il est apparu, il s’est montré : ὤφθη Κηφᾷ : il est apparu à Cephas : 1 Cor. 15,6 ; on retrouve la racine de la vison : ophtalmos : l’oeil.



15) o adelphos , è  adelphè :  le frère, le soeur. Les exégètes catholiques se donnent beaucoup de mal pour que ces termes ne soient pas pris au pied de la lettre, mais indiquent des cousins, une proche parenté, selon l’habitude de l’hébreu. Mais Paul, bilingue, fait bien la différence entre Jacques, « frère du Seigneur » (adelphos kuriou) et Marc  (l’évangéliste supposé) cousin de Barnabé (Markos anepsios Barnaba), il ne les nomme pas tous deux adelphos. Par ailleurs, les occurences où les frères et soeurs de Jésus apparaissent avec leur mère, Marie, plaide pour le sens littéral grec : il est naturel que les enfants restent avec leur mère, ce serait moins évident s’il s’agissait de cousins. Enfin, chez Luc, en 1,36, on parle bien d’Elisabeth, la cousine de Jésus ; emploie-t-on « adelphè » ? non, Luc a recours au terme de « parente (suggenès) : Elisabeth ta parente : Ἐλισάβετ ἡ συγγενής σου » 
Toujours en Luc, 14,12, on lit : »n'invite pas tes amis, ni tes frères, ni tes parents (μὴ φώνει τοὺς φίλους σου, μηδὲ τοὺς ἀδελφούς σου, μηδὲ τοὺς συγγενεῖς σου) « ; il y a donc une différence entre « frères » (adelphoi) et suggenès :  proches parents, cousins y compris. On a vu en 6) à propos de Parthenos, que l’hypothèse la plus vraisemblable serait une naissance de Jésus hors mariage ; les sœurs et frères de Jésus sont donc ses demi-frères et demi-sœurs.



16) to pneuma : l'esprit ou le souffle, correspondant au ruah hébreu. Mt., 27,50 : (Jésus) rendit l'esprit : ἀφῆκεν τὸ πνεῦμα. Actes, 2,4 : et ils furent tous remplis D'UN esprit saint : Καὶ ἐπλήσθησαν ἅπαντες (N ἅπαντες → πάντες) πνεύματος ἁγίου



17) epiousios : c'est un hapax : n'apparaît qu'un fois dans toute la bible, adjectif appliqué au pain dans le Notre Père : "donne-nous notre pain.. ? peut s'appliquer au temps (d'aujourd'hui, de demain) ou dans un sens spirituel : suprasubstantiel, céleste, spirituel : c'est cette solution qu'a choisi St Jérôme dans la Vulgate en traduisant par le transparent suprasubstantialem : au-delà de la matière, spirituel.

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Message  Libremax Mer 27 Oct - 12:22

Bonjour,

en Judéo-samarito-galilée (quel nom donner à ce fichu pays ?!!) , du temps du Christ, le serviteur n'avait-il pas plus ou moins une condition bien proche de l'esclave ?
C'est à dire : totalement soumis au maître, jusqu'à sa libération prévue au bout de sept ans (si je ne me trompe) ?
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Message  Jans Mer 27 Oct - 16:57

Oui, c'est juste, mais au premier chef, la société juive comme romaine est esclavagiste : il y a plus d'esclaves que de maîtres ; on achète, on vend. Mais la mentalité moderne supportait mal que Jésus mette des esclaves dans ses paraboles... traduction à la bonne franquette... En revanche, quand Paul se dit "doulos" de Jésus-Christ, les traductions disaient "esclave" ou "serviteur".
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Message  Libremax Mer 27 Oct - 17:30

C'est à dire que le mot "esclave" a une connotation péjorative sous-entendant la maltraitance, la privation de dignité.
Les grecs n'avaient-ils pas tendance à très bien traiter certains de leurs esclaves?
En "Palestine", les esclaves ne vivaient-ils pas comme des serviteurs? (d'autant que la loi prévoyait une fin de leur servitude)

Je pense que traduire systématiquement par "esclave" téléscoperait dans bien des passages la sagesse du maître des paraboles.
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Message  Jans Mer 27 Oct - 18:29

Je pense que traduire systématiquement par "esclave" télescoperait dans bien des passages la sagesse du maître des paraboles.
Les esclaves étaient plutôt bien traités, c'était l'intérêt du maître, mais enfin, les tentatives de fuite étaient réprimées avec brutalité. Et si le maître tue l'esclave sur un coup de colère, il ne lui arrive rien, c'est un bien meuble. Oui, en théorie, le Juif doit relâcher ses esclaves au bout de 7 ans. Jésus a dû employer un mot neutre en araméen, et sans doute nullement péjoratif, car étant une réalité quotidienne, comme nos éboueurs, mais se rapprochant davantage de l'esclave que du serviteur, sinon on aurait un autre mot que doulos. "Esclave" choquerait dans les paraboles de Jésus ? Pourquoi ? le maître les traite plutôt bien, et a une grande confiance en eux... Il suffirait d'expliquer la société de cette époque, ce serait plus vrai et plus saint. Et du coup, on comprendrait mieux pourquoi il ne renvoie pas le mauvais serviteur, comme on peut le faire aujourd'hui !!
Parce qu'ensuite, quand Paul se dit "esclave du Christ", on croit que c'est un autre terme...
Quand on est passé par un institut de traducteurs, ce fut mon cas, on développe des exigences claires, des obligations déontologiques, on ne fait pas n'importe quoi et on a des situations précises où on peut sous conditions modifier le contenu. Voir ce qui se pratique pour le Nouveau Testament, écrit sacré, a de quoi se faire dresser les cheveux sur la tête celui qui sait le grec de l'époque et a été formé. Et ce n'est pas un hasard si la bible a subi autant de traductions : elles étaient toutes, peu ou prou, déformées par la théologie qui a suivi ! Le Nouveau testament (qui n'en est pas un) n'échappe pas à cette règle.
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Message  Libremax Jeu 28 Oct - 14:50

Jans a écrit:Jésus a dû employer un mot neutre en araméen, et sans doute nullement péjoratif, car étant une réalité quotidienne, comme nos éboueurs, mais se rapprochant davantage de l'esclave que du serviteur, sinon on aurait un autre mot que doulos. "Esclave" choquerait dans les paraboles de Jésus ? Pourquoi ? le maître les traite plutôt bien, et a une grande confiance en eux... Il suffirait d'expliquer la société de cette époque, ce serait plus vrai et plus saint. Et du coup, on comprendrait mieux pourquoi il ne renvoie pas le mauvais serviteur, comme on peut le faire aujourd'hui !!

Le terme qu'on trouve dans la Peshitta est traduit par "serviteur". Ce qui est intéressant, c'est que la Vulgate donne "servus", ce qui signifie autant esclave que serviteur (peut-être est-ce le cas du mot araméen). Je me demande en fait s'il existait réellement dans l'Antiquité un statut de serviteur autre que celui d'esclave. Il devait exister des affranchis qui décidaient de rester au service du maître, en échange du toit et du repas, mais autrement ? Le "doulos" avait-il la connotation péjorative qu'on lui donne aujourd'hui, et n'était-il pas le terme le plus approprié pour décrire la personne au service d'une autre, ce qui ne pouvait arriver que sous le statut d'esclave ?

Je comprends les exigences de clarté et d'exactitude dont vous parlez, mais nous avons là affaire, il me semble, à une réalité un peu différente de nos concepts d'aujourd'hui. Les paraboles des Evangiles dans lesquelles il est question de serviteurs, si je ne me trompe, ne parle d'eux que vis à vis de leur obéissance au maître, la qualité de leur service, et non pas leur condition vis à vis de leur liberté, ce vers quoi l'usage du mot "esclave" ferait tendre leur propos.

Pour diathèkè : Le mot désigne une alliance, mais le problème est qu'il désigne aussi, si je ne m'abuse, une disposition testamentaire (d'où le testament), non ?
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Message  Jans Ven 29 Oct - 19:39

Pour diathèkè : Le mot désigne une alliance, mais le problème est qu'il désigne aussi, si je ne m'abuse, une disposition testamentaire (d'où le testament), non ?
Mais enfin, quand on parle du second berit / diathèkè, et qu'on n'est pas trop ignorant, on sait bien que c'est l'alliance entre Dieu et le peuple juif par l'intermédiaire de Moïse. Quand on dit que le commerçant attend le chaland, on comprend bien qu'il ne s'agit pas de l'autre sens du mot : une péniche, un bateau à fond plat... Quand on lit que Moïse descend du Sinai avec le visage krn, cela peut être :keren : il a des cornes (traduction longtemps admise) ou karan : rayonnant ; plus loin, on lit qu'il devait se mettre un voile sur le visage pour ne pas éblouir : on a compris... et on revient en arrière pour bien traduire. Mais là aussi, il a fallu des siècles pour rectifier, raison pour laquelle le Moïse de Michel-Ange, visible dans une église près du Colisée, a de belles cornes...
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Message  Libremax Ven 29 Oct - 20:04

Oui, mais tout de même. Je ne suis pas sûr que les traducteurs latins aient été si rapides sur le choix des mots intitulant les deux "Alliances".
Le problème d'origine, me semble-t-il, venait du mot hébreu berit, qu'on traduit par Alliance, mais qui a une ambigüité (comme servus). Cela peut être une convention entre deux parties, un contrat, mais cela peut être aussi une promesse, et même une obligation. Dans les deux cas, prononcés unilatéralement, et impliquant une forme de domination, mais aussi de dons.
On se rapproche davantage de l'idée de transmission d'une volonté à accomplir ... de testament, donc.

Je vous renvoie à ceci :
https://www.persee.fr/doc/thlou_0080-2654_1977_num_8_2_1555_t1_0216_0000_3
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Message  Jans Ven 29 Oct - 20:32

je vous remercie, c'est intéressant. En tout cas, alliance est mieux que "testament".
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