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Autour de l'agriculture: pour le meilleur et le pire .

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Message  Idriss Jeu 13 Sep - 21:21

FABRICE NICOLINO : « L’AGRICULTURE INDUSTRIELLE NE NOURRIRA PAS 10 MILLIARDS D’ÊTRES HUMAINS »
Posted by Kévin Boucaud-Victoire | 13 Sep 2018

Fabrice Nicolino est journaliste et essayiste. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur l’écologie ou l’agriculture et publie ce 13 septembre aux éditions Les Liens qui Libèrent, Nous voulons des coquelicots avec François Veillerette. Il revient avec nous sur cette ouvrage, qui constitue un manifeste contre l’utilisation des pesticides chimiques.

https://lemediapresse.fr/ecologie/fabrice-nicolino-lagriculture-industrielle-ne-nourrira-pas-10-milliards-detres-humains/
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Message  indian Jeu 13 Sep - 21:28

en effet, la productivité (tonne /hectare) est bien plus élevée dans un potager où la diversité est prépondérante que dans toute monoculture industrielle.

:jap:

indian

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Message  Idriss Mer 11 Nov - 20:22

Ervé Coves, je ne suis pas sur que se soit la meilleur video pour découvrir cette homme . En fait j'ai pas beaucoup écouté de video de ce Franciscain , je le connais surtout par l'intermédiaire d'une amie qui m'en parle souvent .


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Message  Idriss Dim 29 Nov - 12:19





Peut-on freiner la perte de terres arables sur la planète ?

12 millions d'hectares se sols fertiles disparaissent chaque année, sur un total de 1,4 milliard. De nouvelles pratiques agricoles peuvent enrayer ce péril.

De toutes les ressources non-renouvelables que l'humanité est en train d'épuiser, le sol est celle dont dépend le plus directement l'alimentation humaine. Et cela commence à inquiéter. Ainsi, les Nations unies ont-elles déclaré 2015 année internationale des sols, et la FAO (l'organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture) se mobilise sur la question.

https://www.science-et-vie.com/questions-reponses/peut-on-freiner-la-perte-de-terres-arables-sur-la-planete-54007

Le sol est donc une sorte d'épiderme vivant de la Terre, extraordinairement fécond, mais très fragile, sur lequel repose la productivité du vivant. Or, à l'échelle temporelle humaine, il s'agit d'une ressource non-renouvelable : 200 à 1 000 ans sont nécessaires pour former 1 cm de sol par altération de la roche mère ! Hélas, nous en perdons 10 à 50 fois plus.


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Message  Idriss Ven 23 Avr - 19:36

Agricultrice engagée dans la Creuse, Camille fait vivre son exploitation selon ses convictions, quitte à renoncer à certaines aides financières.



Dernière édition par Idriss le Sam 24 Juin - 13:11, édité 1 fois
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Message  Idriss Dim 2 Mai - 19:28

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Message  Idriss Ven 21 Mai - 21:32

Cet éleveur a-t-il subi des représailles de sa coopérative parce qu'il s'est converti à l'agroécologie ?
Publié le 25/03/2020



Son exploitation était la première en production laitière du département, et la sixième de France. Sauf que, raconte cet éleveur en Dordogne, "être bon élève [l']a mené à une catastrophe économique". Pour s'en sortir, il a tenté une conversion à l'agroécologie – réussie, mais… pas du goût, selon lui ,de la coopérative qui lui vendait des compléments alimentaires pour ses vaches. Voici son récit pour "Pièces à conviction".

Patrice Brachet est éleveur laitier en Dordogne. Son exploitation d'Azerat, près de Brive-la-Gaillarde, a été l'une des plus performantes de France et la première en production de son département. Mais à force d'investir plus pour produire plus, l'éleveur se retrouve criblé de dettes : des centaines de milliers d'euros à rembourser.

Lui a l'impression de "bien travailler", ce que confirment le contrôleur laitier et son comptable, sauf qu'il accumule des dettes. "Donc c'est la descente aux enfers, c'est un redressement judiciaire", prononcé en 2013. Patrice Brachet confie avoir alors pensé au suicide, mais il repousse cette idée qui "aurait mis sa famille dans une merde noire".
"C'est pas une histoire de paiement, c'est 'représailles agroécologie'…"

Pour s'en sortir, l'éleveur décide de se convertir à l'agroécologie. Ses vaches sont mises au pré l'été, et nourries l'hiver avec du fourrage "maison". Ses comptes, tenus par son fils, s'en trouvent rapidement mieux. Rien qu'en se passant presque complètement des concentrés, ces compléments alimentaires donnés aux vaches en élevage conventionnel, il économise des milliers d'euros : 40 000 la première année, 110 000 en trois ans. Autant de manque à gagner pour la coopérative qui les lui vend...

Celle-ci lui a-t-elle fait subir des représailles pour s'être converti à l'agroécologie ? En 2018, elle a refusé de livrer 10 000 euros de colza pour son troupeau. L'éleveur, en contrat avec une laiterie qui assure les paiements à la coopérative, est catégorique : "C'est pas une histoire de paiement, c'est pas une histoire d'autre chose, c'est 'représailles agroécologie'."

Extrait de "Les agriculteurs vont-ils sauver la planète ?", un document à voir dans "Pièces à conviction" le 25 mars 2020.

https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/agriculture/video-cet-eleveur-a-t-il-subi-des-represailles-de-sa-cooperative-parce-qu-il-s-est-converti-a-l-agroecologie_3882599.amp
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Message  Idriss Mer 4 Aoû - 13:14

[quote]Au Liban, l’agroécologie pour survivre en temps de crise

Pour faire face à l’explosion de la pauvreté et à l’inflation qui rend inabordables les importations, des agriculteurs et activistes développent une filière bio. Encore à une échelle très réduite et largement subventionnée par l’aide internationale, elle suscite néanmoins un intérêt grandissant.

"Avec l’inflation de la monnaie libanaise, les prix à la consommation ont augmenté de plus de 150 % entre le printemps 2020 et le printemps 2021. Plus de la moitié de la population libanaise vit sous le seuil de pauvreté et le taux d’extrême pauvreté est passé de 8 % à 23 % entre 2019 et 2020. L’alimentaire est devenu une préoccupation majeure pour la population. Ziad Abi Chaker l’a bien compris en fondant l’entreprise Cedar environmental. L’ingénieur environnemental propose d’installer chez les particuliers des fermes verticales dont les bacs, créés à base de produits recyclés, sont destinés à la plantation de fruits et légumes écologiques."
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Message  Idriss Dim 3 Oct - 12:15

L'engrais vient à manquer, le prix de la nourriture va monter
30/09/2021


Cette pénurie va se traduire par une production alimentaire réduite et des coûts plus élevés.

En septembre, les prix des produits alimentaires ont augmenté de 33% dans le monde par rapport à la même période de l'année précédente, selon l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture. On atteint désormais des niveaux jamais vus depuis 2011. Les causes de cette hausse record sont bien connues: prix du transport élevé, catastrophes naturelles ayant entamé les récoltes, pénurie de main-d'œuvre...

Mais un nouvel élément pourrait encore venir compliquer les choses: la pénurie d'engrais. «Le coût des engrais est l'un des principaux moteurs de l'inflation alimentaire mondiale actuelle, car les prix des trois groupes de nutriments –potasse, phosphate et azote– sont à des niveaux jamais observés depuis environ une décennie»,
https://korii.slate.fr/et-caetera/penurie-engrais-prix-eleve-gaz-naturel-nourriture-production-alimentaire-reduite


Les solutions alternatives existent pourtant !


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Message  Idriss Lun 17 Jan - 15:45

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Message  Idriss Mer 6 Juil - 21:15

Des agriculteurs en détresse, coincés dans l’engrenage des pressions climatiques, sanitaires et économiques
Par Camille Bordenet (Loire, envoyée spéciale)
6 juillet 2022

Extrait : Arrêter ? La question se pose de plus en plus, et l’impression de n’être « plus maîtres de rien », sommés de « produire toujours plus » tout en étant « pointés du doigt », domine.
REPORTAGE
L’association Solidarité Paysans soutient des exploitants souvent étranglés, pour qui sécheresse, canicule, grêle et inflation sont les coups de grâce. Un comité de suivi du plan gouvernemental de prévention du mal-être se tient le 5 juillet.
Dans sa paume calleuse, Didier égrène un épi de son champ devant les trois accompagnateurs de l’association Solidarité Paysans, dans la Loire. « Voyez comme les grains sont échaudés et maigres ? » En cette fin juin marquée par une nouvelle série noire de sécheresse, de canicule précoce et de tension hydrique, les pâturages des crêtes ligériennes sont déjà exsangues. La moisson, avancée, s’annonce piètre : il a déjà fallu entamer les réserves fourragères pour nourrir le troupeau de vaches allaitantes, et il faudra sûrement acheter de la paille pour tenir jusqu’au printemps. Le coût de celle-ci a flambé avec l’inflation, comme le gazole pour les tracteurs et toutes les charges… La baisse du pouvoir d’achat des clients se ressent déjà : ils achètent moins de poulets fermiers à l’exploitant de 55 ans.
« La fièvre catarrhale en 2009 où on a perdu des vaches, les crises du lait, les sécheresses trois ans de suite, les grippes aviaires… », liste Annick, la compagne de Didier (le couple n’a pas souhaité donner son nom), cherchant les années épargnées par les calamités. De plus en plus intenses et rapprochées, ces pressions climatiques et sanitaires, doublées de chocs économiques, viennent mettre à mal les exploitations déjà fragiles aux capacités d’adaptation faibles. « On n’a même plus le temps de relever la tête », dit-elle, racontant l’engrenage des dernières années : course à l’agrandissement et aux investissements, tyrannie des cours et des prix, surendettement, pression des créanciers, huissiers, contrôles, accident de son époux…
En première ligne de ce malaise agricole depuis trente ans, la centaine de salariés et le millier de bénévoles du réseau associatif national Solidarité Paysans poursuit son accompagnement gratuit, partout sur le territoire. Négociations avec les créanciers, suivies de procédures judiciaires pour traiter l’endettement, recours aux aides sociales, soutien aux changements de pratique… Leur présence sur le terrain depuis 1992 et leur médiation avec les autres acteurs (la Mutualité sociale agricole, les chambres d’agriculture, les départements…) paraissent d’autant plus nécessaires que la conjoncture ne cesse de s’aggraver.
Recrudescence d’appels
Accompagnatrice du couple dans le département de la Loire, Léa Fanget, 31 ans, montre ce SMS reçu la veille : « Mon mari est en train de craquer. (…) C’est beaucoup trop, avec la météo par-dessus. Il veut tout arrêter. (…) Cette histoire risque de mal se terminer. » Comme d’autres collègues ailleurs sur le territoire, elle a constaté une recrudescence d’appels au cours du premier semestre. Certaines antennes ayant été plus contactées en six mois que sur l’ensemble de l’année 2021. Au bout du fil, des exploitants souvent étranglés, pour qui sécheresse, canicule, grêle et inflation sont les coups de grâce.
Une hausse des demandes de suivi qui peut aussi être corrélée à la meilleure visibilité dont bénéficie l’association depuis le film Au nom de la terre (2019) d’Edouard Bergeon, traitant du mal-être paysan. Des réseaux se structurent à mesure que cet enjeu de santé publique s’impose.
A la suite de rapports parlementaires, le gouvernement a présenté un plan de prévention et d’accompagnement en novembre, dans l’espoir d’enrayer la surmortalité par suicide qui frappe la profession – selon des chiffres de la MSA, étudiés par Santé publique France en 2016 et en 2019, en moyenne 250 exploitants et salariés du secteur, en majorité des hommes, ont mis fin à leurs jours chaque année, chiffres qui seraient sous-estimés.
Outre un financement plus important, le plan prévoit, entre autres, de renforcer le maillage des « sentinelles » (vétérinaires, banquiers, conseillers des chambres d’agriculture ou fournisseurs formés afin de détecter les signaux de détresse) et des dispositifs comme l’« aide au répit » (le remplacement des exploitants en burn-out financé jusqu’à dix jours), ou encore la ligne d’appel Agri’écoute (gérée par la MSA) ou le crédit d’impôt remplacement… Les critères d’aide à la relance des exploitations en difficulté doivent aussi être assouplis sous peu.
Associée à la mise en œuvre de ce plan, saluée pour son action, Solidarité Paysans n’en demeure pas moins critique. « Le suicide n’est que la partie émergée de la souffrance, selon Marie-Andrée Besson, coprésidente de l’association, jugeant urgent de remettre en question le modèle agro-industriel qui engendre dépendance et isolement. » L’association sera entendue, avec les autres acteurs du monde agricole, lors d’un comité de suivi du plan le 5 juillet. Entre autres propositions qu’elle porte : la révision du mode de calcul du RSA, la simplification des démarches administratives, l’amélioration des relations avec les créanciers…
« Sans eux, on serait finis »
« La conjoncture actuelle va être catastrophique pour les exploitations déjà en difficulté, avec des plans de redressement qui ne pourront plus être honorés. Mais elle va aussi fragiliser celles qui tournaient normalement », alerte Mme Besson, craignant les « effets à retardement ». Des inquiétudes qui ont récemment conduit le coordinateur national du plan gouvernemental, Daniel Lenoir, à demander aux agences régionales de santé (ARS) de redoubler de vigilance quant à l’évolution du risque suicidaire. Sur le plan économique, de nouvelles aides ont été lancées dans le cadre du plan de résilience – aide à l’alimentation animale et prise en charge des cotisations sociales.
Ces dispositifs paraissent toutefois lointains à Didier et Annick, qui ne remplissent pas tous les critères. Sur la toile cirée de leur cuisine s’étale la tourmente du surendettement : courriers de majoration, mises en demeure, échéancier de dettes… Même avec sa formation en comptabilité, son brevet agricole et sa persévérance face à l’ordinateur, Annick a l’impression de « ne pas parler la même langue. Comment fait l’éleveur isolé, avec sa ferme à gérer, et s’il ne sait pas se servir de l’ordinateur ? ». Annick, 53 ans, garde désormais des enfants, pour assurer un salaire fixe.
Autour de la table, Léa Fanget et les deux bénévoles, Michel Sabatier – ancien éleveur laitier – et Jean-Luc Rouchon – retraité du Crédit agricole –, reprennent le dossier. Il s’agit de faire reconnaître l’accident du travail de Didier, renversé par une vache : fracture à l’épaule, arrêt maladie, mais obligation de continuer faute de pouvoir financer un remplacement. Il y a aussi le bras de fer avec la banque pour obtenir une avance de la prime de la politique agricole commune. « On n’y arriverait pas seuls », affirme le quinquagénaire.
Dire qu’on va mal et demander de l’aide demeure un tabou dans le milieu. C’est Annick qui a appelé l’association, après avoir lu un article dans Le Progrès. Les collègues alentour et la famille n’en savent rien. « Sans eux on serait finis ! », assure Annick qui angoissait de retrouver un jour son mari « au bout d’une corde ». Le fait que certains bénévoles soient des agriculteurs ayant eux-mêmes subi des difficultés et leur indépendance devant des créanciers mettent en confiance. L’association facilite aussi le lien avec les services sociaux de la MSA – Didier a vu un psychologue et est suivi par un médecin-conseil – ou avec d’autres acteurs.
Arrêter ? La question se pose de plus en plus, et l’impression de n’être « plus maîtres de rien », sommés de « produire toujours plus » tout en étant « pointés du doigt », domine.
« Car malgré son accompagnement social, la MSA demeure souvent considérée comme un organisme de recouvrement, source d’angoisse », constate Léa Fanget. Se disant consciente de « la nécessité de remettre de l’humain », Frédérique Jacquet-Libaude, chargée de la prévention du mal-être à la MSA, explique que l’organisme a révisé le « ton des courriers de relance » et travaille à une meilleure lisibilité de ses services.
Transmission familiale rompue
Didier et Annick ont plusieurs fois adapté leurs pratiques aux crises : arrêt du lait, du maïs, des engrais, des intrants… Avec parfois des erreurs, dans l’urgence. Ils auraient voulu passer en bio, mais le diagnostic était défavorable. Soumis à un plan de restructuration, trop endetté pour agrandir le troupeau, Didier a aussi dû renoncer à l’installation de sa fille aînée avec lui – elle avait passé son bac agricole –, rompant à regret la transmission familiale.
Arrêter ? La question se pose de plus en plus, et l’impression de n’être « plus maîtres de rien », sommés de « produire toujours plus » tout en étant « pointés du doigt », domine. « La prochaine sécheresse faudra quoi, mettre des chameaux ? », interroge l’exploitant agricole. Mais l’attachement demeure plus fort. L’appui de Solidarité Paysans lui a permis, dit-il, de « relever la tête », de retrouver un peu d’autonomie. Même si semble loin l’époque de leurs parents, qui « étaient heureux, vivaient de leurs produits, avec des petites fermes s’entraidant ». Eux n’avaient connu qu’une grande sécheresse, en 1976.
La France compte moins de 400 000 agriculteurs et un sur trois sera parti à la retraite d’ici à trois ans, posant la question de leur renouvellement. Aux jeunes qui ont « le courage de se lancer », Didier et Annick leur souhaitent « de ne pas tomber dans les mêmes pièges, revenir à de plus petites surfaces ». Près de 70 % des 3 000 exploitants que Solidarité Paysans accompagne chaque année poursuivent leur activité, parfois en changeant leurs pratiques.
Camille Bordenet
Loire, envoyée spéciale

https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/07/05/on-n-a-meme-plus-le-temps-de-relever-la-tete-face-au-dereglement-du-climat-et-a-l-inflation-l-aggravation-de-la-detresse-des-agriculteurs-inquiete_6133345_3224.html
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Message  Idriss Sam 16 Juil - 19:34

"Les plantes n'y arrivent plus" : avec la sécheresse, les agriculteurs craignent une année noire pour les récoltes

Le ministre de l'Agriculture organise, vendredi 15 juillet, un comité national sur la secheresse agricole. Depuis plusieurs semaines, les cultures souffrent de la chaleur et du manque de pluie. La Vendée et la Vienne sont particulièrement touchées.


https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/agriculture/secheresse-les-plantes-n-y-arrivent-plus-les-agriculteurs-craignent-une-annee-noire-pour-les-recoltes_5257834.html
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Message  Idriss Ven 21 Oct - 15:35

L'engrais chimique a été créé à cause d'une surproduction de l'industrie minière - Aurore Stéphant

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Message  Idriss Lun 10 Avr - 15:51

« Mon Dieu, toutes ces personnes sont là pour une cause juste, nous essayons de défendre ta création. Protège-nous. »


À Sainte-Soline, des jeunes chrétiens tentés par la radicalité​
Publié le 06/04/2023 Pascale Tournier

De nombreux croyants de gauche ont assisté au rassemblement du 25 mars contre les mégabassines. S’ils n’ont pas participé aux actes de violence, ils ne les condamnent pas pour autant.


https://www.lavie.fr/actualite/societe/a-sainte-soline-des-jeunes-chretiens-tentes-par-la-radicalite-87811.php
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Message  Spin Lun 10 Avr - 19:13

Je comprends fort bien qu'on cherche et développe des alternatives à l'agriculture industrielle. De là à la saboter, et ça commence à y ressembler, il y a beaucoup de marge.
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Message  Idriss Dim 7 Mai - 22:55

Édifiant !

Que se passe-t-il aux Pays-Bas?


Si il y a bien une leçon à tirer de l’exemple hollandais, c’est celle du coût de la procrastination. Quand on ne s’occupe pas du problème, il s’occupe de nous. Ce qu’on ne peut pas appeler une transition, mais plutôt une catastrophe.



https://medium.com/@giniefrench/ceci-nest-pas-une-transition-f89bf74effe6
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Message  Idriss Dim 7 Mai - 22:57

Spin a écrit:Je comprends fort bien qu'on cherche et développe des alternatives à l'agriculture industrielle. De là à la saboter, et ça commence à y ressembler, il y a beaucoup de marge.

C'est que tu n' as sans doute pas pris encore toute la mesure de la gravité de la situation !
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Message  Idriss Sam 1 Juil - 22:17

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Message  Idriss Sam 1 Juil - 22:25

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Message  Idriss Sam 9 Sep - 23:01

Pour la dissolution de la FNSEA

Après la dissolution des Soulèvements de la Terre (SDLT), doit-on demander la dissolution de la Fédération Nationale des Syndicats d’Exploitants Agricoles (FNSEA) ? On vit en absurdie, donc allons y à fond… Car non les SDLT n’auraient jamais dû être dissous et la FNSEA ne devrait pas l’être non plus. Mais dans un soucis de cohérence, demander la dissolution de ce syndicat agricole peut paraître légitime. Voilà pourquoi…
Pourquoi faut-il agir maintenant ?

Qu’est-ce que la FNSEA ? Je ne sais pas si on doit encore présenter ce “syndicat”, mais la FNSEA ou Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles se veut comme le syndicat représentatif des agriculteurs, enfin d’un certain type d’agriculture. C’est surtout une organisation qui défend les pesticides (1) et un modèle d’agriculture du passé, un modèle intensif (2) au passé (et présent) sulfureux.



https://agir.greenvoice.fr/petitions/pour-la-dissolution-de-la-fnsea
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Message  Idriss Ven 23 Fév - 21:14

Spin a écrit:Je comprends fort bien qu'on cherche et développe des alternatives à l'agriculture industrielle. De là à la saboter, et ça commence à y ressembler, il y a beaucoup de marge.

Quand l'état ne fait plus son travail  et que la mafia agro-industrielle accapare les ressources naturelles  les marges sont dépassées !



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Message  Idriss Mer 28 Fév - 21:59

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