Le Christ selon Abdul'Baha
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Le Christ selon Abdul'Baha
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http://www.religare.org/livre/bahai/ba-abd-lecon.php#sc1_6
1.6. Le Christ
(1.6.1)
Le Christ vint ensuite et dit : « Je suis né par l'oeuvre du Saint-Esprit. » S'il est aisé pour les chrétiens de croire à cette assertion aujourd'hui, c'était alors une chose fort difficile. Le texte de l'Evangile dit que les pharisiens s'écrièrent : « N'est-il pas le fils de Joseph de Nazareth que nous connaissons ? Comment peut-il prétendre venir du ciel ? » [voir : Jean 6.41]
(1.6.2)
Bref, bien que, apparemment et aux yeux de tous, il fût pauvre, malgré cela il agit avec une puissance telle qu'il réussit à abolir une loi religieuse datant de quinze cents ans, alors que celui qui s'en écartait le moins du monde tombait dans le plus grand péril, et risquait sa vie.
(1.6.3)
De plus, dans le temps du Christ, les moeurs, partout dans le monde, étaient tout à fait corrompues, la condition des Israélites était des plus confuses, et Israël était tombé au dernier degré de la dégradation, de la misère et de la servitude.
(1.6.4)
Tantôt prisonniers de la Perse et de la Chaldée, tantôt réduits en esclavage par les Assyriens, tantôt sujets et vassaux des Grecs, les Israélites étaient finalement soumis et méprisés par les Romains.
(1.6.5)
Tout jeune, le Christ, à l'aide d'un pouvoir surnaturel, abrogea l'antique loi mosaïque, et se mit à réformer les moeurs générales : une seconde fois il jeta pour Israël les bases d'une gloire éternelle. [nota : « une seconde fois » - Jésus a réformé les moeurs une seconde fois, Moïse ayant réformé celles-ci une première fois]
(1.6.6)
De plus, il donna à l'humanité la bonne nouvelle de la paix universelle; il répandit des enseignements qui n'étaient pas réservés à Israël seulement : il institua les fondements de la félicité universelle pour tout le genre humain.
(1.6.7)
Les premiers qui s'efforcèrent de le faire disparaître furent les Israélites, sa propre parenté. En apparence, ils eurent raison de lui, et ils le plongèrent dans la plus profonde détresse : ils finirent par lui mettre sur la tête la couronne d'épines, et par le crucifier.
(1.6.8)
Et cet être, alors qu'il était apparemment dans la plus grande détresse, annonça : « Ce soleil va resplendir, cette lumière va briller, et ma grâce va envelopper le monde, et tous les ennemis seront confondus! » Et comme il le dit, cela arriva. [voir : Jean 12.46]
(1.6.9)
Tous les rois de la terre réunis n'ont pu le réduire à néant. Au contraire, toutes leurs bannières ont été déchirées, tandis que celle de cet opprimé a été portée à son apogée.
(1.6.10)
Est-ce qu'une telle chose est possible sur les bases de la logique humaine ? Non, par Dieu ! Il devient donc clair et évident qu'un tel être glorieux fut un véritable éducateur de l'humanité, et qu'il fut aidé et confirmé par le pouvoir divin.
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1.6. Le Christ
(1.6.1)
Le Christ vint ensuite et dit : « Je suis né par l'oeuvre du Saint-Esprit. » S'il est aisé pour les chrétiens de croire à cette assertion aujourd'hui, c'était alors une chose fort difficile. Le texte de l'Evangile dit que les pharisiens s'écrièrent : « N'est-il pas le fils de Joseph de Nazareth que nous connaissons ? Comment peut-il prétendre venir du ciel ? » [voir : Jean 6.41]
(1.6.2)
Bref, bien que, apparemment et aux yeux de tous, il fût pauvre, malgré cela il agit avec une puissance telle qu'il réussit à abolir une loi religieuse datant de quinze cents ans, alors que celui qui s'en écartait le moins du monde tombait dans le plus grand péril, et risquait sa vie.
(1.6.3)
De plus, dans le temps du Christ, les moeurs, partout dans le monde, étaient tout à fait corrompues, la condition des Israélites était des plus confuses, et Israël était tombé au dernier degré de la dégradation, de la misère et de la servitude.
(1.6.4)
Tantôt prisonniers de la Perse et de la Chaldée, tantôt réduits en esclavage par les Assyriens, tantôt sujets et vassaux des Grecs, les Israélites étaient finalement soumis et méprisés par les Romains.
(1.6.5)
Tout jeune, le Christ, à l'aide d'un pouvoir surnaturel, abrogea l'antique loi mosaïque, et se mit à réformer les moeurs générales : une seconde fois il jeta pour Israël les bases d'une gloire éternelle. [nota : « une seconde fois » - Jésus a réformé les moeurs une seconde fois, Moïse ayant réformé celles-ci une première fois]
(1.6.6)
De plus, il donna à l'humanité la bonne nouvelle de la paix universelle; il répandit des enseignements qui n'étaient pas réservés à Israël seulement : il institua les fondements de la félicité universelle pour tout le genre humain.
(1.6.7)
Les premiers qui s'efforcèrent de le faire disparaître furent les Israélites, sa propre parenté. En apparence, ils eurent raison de lui, et ils le plongèrent dans la plus profonde détresse : ils finirent par lui mettre sur la tête la couronne d'épines, et par le crucifier.
(1.6.8)
Et cet être, alors qu'il était apparemment dans la plus grande détresse, annonça : « Ce soleil va resplendir, cette lumière va briller, et ma grâce va envelopper le monde, et tous les ennemis seront confondus! » Et comme il le dit, cela arriva. [voir : Jean 12.46]
(1.6.9)
Tous les rois de la terre réunis n'ont pu le réduire à néant. Au contraire, toutes leurs bannières ont été déchirées, tandis que celle de cet opprimé a été portée à son apogée.
(1.6.10)
Est-ce qu'une telle chose est possible sur les bases de la logique humaine ? Non, par Dieu ! Il devient donc clair et évident qu'un tel être glorieux fut un véritable éducateur de l'humanité, et qu'il fut aidé et confirmé par le pouvoir divin.
indian- Messages : 2844
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Date d'inscription : 10/10/2014
la mouette aime ce message
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